RBI Revenu de base inconditionnel

Article écrit en printemps 2020.

RBI Revenu de base inconditionnel

Un revenu de base inconditionnel pour toutes et tous, un retour à l'équilibre financière.

Vous avez de nombreux site Internet qui parle du RBI et d'où mon article ne va pas s'appuyer sur la politique du RBI, sur son fonctionnement, où prendre les ressources et de ce qui est mis dans l'initiative citoyenne.
Vous avez, https://initiative-revenudebase.ch/ comme bien d'autres, je vous laisse voir de plus près à votre bonne volonté de recherche à la connaissance du sujet.

Pour évoluer drastiquement notre système économique à l'équilibre, il faut abandonner notre perception de compétition.

Non pas à la compétition sportive, ni à la recherche, ni à notre formation, ni autres compétitions, mais belle et bien celle de la compétition à l'économie.
Dès notre jeune âge on nous apprend à la compétition à la richesse économique, c'est une compétition de guerre, que la compétition en général n'est en tout cas pas au sens de la paix. Dès tout petit on nous apprend à faire la guerre l'un à l'autre sur une compétitivité économique, ce qui crée de plus en plus un écart entre les riches et les pauvres.

Un RBI unique du coût de la vie du pays donné aux citoyens originaires du pays, (et qui vivent dans leur propre pays originaire) permettrai de changer notre perception sur l'économie.
En effet, si les citoyens du pays en question qui ont un système de RBI ; les citoyens ne vont plus chercher à vouloir devenir toujours plus riche, pour être tranquille dans leur vie sur l'économie. Mais, plutôt devenir à vouloir être plus utile.
Quand une personne on le garanti d'une vie normale sur son économie ; il va alors s'enrichir à sa manière de ce qu'il pourra entreprendre et de ce qu'il voudra être utile, sans se soucier de son avenir.

Ainsi, les migrants économiques diminueront drastiquement et ils feront évoluer une économie dans leur propre pays beaucoup plus de sûreté et de joie. Ils seront plus reconnaissants et apporteront de meilleurs échanges de leurs savoirs.
Ils auront plus de temps avec la famille, les amis et de leur loisir. Ils auront plus de temps de réfléchir quoi faire dans leur vie, plus de temps à évoluer une société en commun.

Y a des points peut-être négatif, mais ils sont très bas par rapport à un système où nous n'aurons quasiment plus de pauvres et de meilleures égalités. On peut faire une très grande liste des points positif.
D'ailleurs, on a déjà eu une initiative en Suisse en 2016, vis à vis d'un tel système. Mais qui apparemment était trop jeune, trop peu développé pour un si grand sujet important ; pour que la population accepte de changer. C'est vrai, je conçois qu'il faut changer d'autres trucs encore, pour en arriver à un tel système adéquat. Et, les banques seront également touchées au changement.
Et, les opposants ont sorti une telle affiche, qui fait comprendre que pour le moment l'homme n'a pas compris d'un tel système. Ils ont vu en l'homme devenir fainéant à la généralité et donc, comme si le système actuel nous pousse à croire que ceux qui ne gagnent presque rien dans leur vie sont des gens sous zone, des sous merdes ou autres négativités. Ce phénomène de constamment pointé du doigts aux assistés sociaux devient plus en plus violente et c'est le système actuel qui fait que nous devenons comme ça. L'amour de l'argent est contre-productif, il fait la guerre et n'est pas le bon chemin avenir dans les générations à long terme. Voici l'image en question qui a été ressorti des opposants :

Qui n'aurait pas besoin de RBI ?

Personne, puis qu'à la base cela doit être un droit acquis à chaque adulte, (et enfant d'un RBI diminué). A la différence, on diminuerait le salaire d'un montant d'un RBI, pour les entreprises qui paient à un niveau élevé des revenus salariales, (à un niveau fixe selon à la politique du pays). Je vais entendre dire pour les opposants ; "pas question de diminuer mon salaire !" Ces opposants seront de classe où ils ont un très bon salaire, forcément. Et, c'est là qu'on doit abandonner cet esprit de compétition financière, où on cherche à être le mieux payer à être le plus riche. Bien entendu que celui qui a une volonté d'avoir plus d'argent, va continuer à vouloir toujours plus, mais quand on sait que ces genres de personnes diminuent leur salaire aux montants d'un RBI, alors on responsabilise mieux les riches envers les pauvres. Un équilibre plus ouvert, où les riches n'ont plus à faire une compétition dans la peur de devenir pauvre. Et, un équilibre plus renforcé, où les pauvres n'auront plus à avoir de soucis de ne pas pouvoir vivre correctement.
On ne distinguera plus entre riche et pauvre point de vue financière puisque le pauvre n'existerait plus, mais plutôt à celui qui rapporte quelque chose au pays et celui qui rapporte moins de valeur. La valeur de construire, la valeur de créer, la valeur de servir, la valeur d'aider bénévolement, la valeur d'évolution pour les générations d'après et etc...

La valeur de développement personnel serait le plus développé dans la psychologie de l'homme, sur un tel système économique.

Y a de multiples moyens pour en arriver avec les billions et les billions d'argent qui tourne dans le monde et cela n'est pas une politique de gauche ou de droite. Mais, d'un nouveau système d'économie, un nouveau air de temps qui pourrait très bien fonctionner à la prochaine génération.

Qu'en s'agit-il des immigrés climatique ou économique des pays qui auraient des RBI très bas, (selon la richesse du pays ?

Dans un tel système, les métiers plus pénible ou plus précaire seront vacants plus facilement pour ces citoyens qui n'ont pas droit au RBI du pays où ils se sont installés, (selon le système politique des droits du pays). Et, qu'il y aura de moins en moins de gens qui vont zoner à perdre leur temps dans leur vie à rien faire. Et, donc moins de dealer, moins de vol et etc...

Tout est rose dans ce système alors ?

Non, chaque système a ses failles et on a le devoir de toujours améliorer. Mais, c'est une évolution évidente, si on veut sauver le monde sur la pauvreté qui s'agrandit jour en jour et des riches qui deviennent toujours plus riche. Et, le climat par rapport au monde économique. Du moment qu'on n'aura plus la compétition d'avoir toujours plus, toujours plus grand, toujours plus d'influence de pouvoir économique ; on aura un effet domino psychologique de la population à se contenter de ce qu'ils ont acquis, de ce qu'ils peuvent se permettre à l'évolution, ainsi garder la nature sur une meilleure autonomie. On arrêtera de raser les forêts pour avoir plus de rendement d'huile de palme, par exemple. Car, le système actuel influence à vouloir toujours plus de terrains, pour être plus riche. Une compétition de guerre qui a été dans les normes de monsieur et madame tout le monde, à cause d'un tel système que nous vivons actuellement.

Qu'en s'agit-il sur le rendement de la valeur de la monnaie dans ce cas, si la compétition de richesse économique est drastiquement diminuée ?

Et, bien on devra alors peut-être inventer une nouvelle façon de créer la valeur à la monnaie, aussi. Construire, évoluer les structures font aussi évoluer la valeur à la monnaie et donc, on devra réinventer une autre manière de consommer l'espace territoriale. Il n'y aura plus besoin de vouloir absolument être le plus riche dans les structures, dans un système économique plus équilibré.
Donc, le respect à la nature et le RBI collent parfaitement dans la psychologie du partage économique. On peut sortir un tas d'exemples, je vous laisse les imaginer et les écrire dans les commentaires.
Egalement on sait que plus on distribue gratuitement de l'argent, plus on imprime, plus la valeur du billet diminue. Hors, dans la logique du RBI on doit remplacer cette valeur qui diminue à force par ; les investissements et de créations de soi. C'est un autre sujet assez complexe, que je ne vais pas le développer dans cet article. Et, où les plus riches à un certain niveau minimum de fortune ne recevraient pas de RBI, par exemple.

Qu'en s'agit-il des dettes, dans lesquels un tel système que nous vivons permet de faire vivre la population ?

Et, bien tout ça devra peu à peu être effacé et réinventer une nouvelle économie à la juste valeur du pays. A la valeur de ce que la population rapporte aux pays. Ce serait un bouleversement total entre les dominations des pays les plus développés et les pays les moins développés. Ainsi, les pays en voie de développement pourront s'équilibrer de meilleure façon en long terme, envers les pays surdéveloppés.

Pour en arriver, faut que le RBI puisse commencer d'un pays et apporter le système peu à peu dans le monde. Et, si le jour vient d'en arriver là alors, peu à peu le système changera et le système capitalisme diminuera. Il n'est pas nécessairement qu'un RBI soit unique partout dans le monde, mais qu'il soit adapté pour le pays qui fonctionne ainsi et qu'il soit régulé selon à la politique du pays.
Beaucoup disent que c'est trop tôt, qu'il faudrait peut-être attendre l'arrivée des robots qui remplacent certaines places de travailles et qui apporteraient de la valeur. Peut-être oui, mais dans ce cas si cela est important, alors le RBI est encore plus fort pour survivre contre les problèmes de chômages avenir, (des places perdues et remplacées par les robots). Des nouveaux emplois de nouveaux métiers seraient réinventés plus sereinement.

A vous, d'écrire dans les commentaires la réinvention au sujet du RBI, la réinvention du système, de comment vous souhaitez voir l'avenir de votre pays et de votre génération à une vie meilleure que la vôtre. Car, en ce moment de mon texte on est plutôt à se dire que "la génération avenir vivront moins bien que nous."

Cet article peut-être encore plus long, on peut avoir pleins d'articles concernant le RBI avec plusieurs sujets différents et de pensées différentes pour concevoir un tel système. C'est ainsi que je vous invite alors ; de concevoir votre article du RBI.

Il est évident qu'il faut s'appuyer au détail de la compréhension du RBI Suisse, qui peut-être duplicable dans d'autres pays.
Dans cette suite d'article, je vais m'appuyer sur une étude d'une vidéo, mais avec une dissertation personnelle.

Nous nous basons que chacun à un revenu plus au moins, sinon ils ne pourront pas survivre. Mais, sous quelle condition ?
Récapitulatif selon les statistiques Suisse ;

  • 4 sur 10 travails et ces 4 reçoivent un revenu assez pour vivre.

  • 3 sur 10 en majorité les enfants et les jeunes ont un revenu par leur famille.

  • 2 sur 10 vivent de leur retraite ou de leur rente.

  • 1 sur 10 vivent de l'aide chômage ou du social.

Donc, environ 40% sont le fruit rémunéré. Tous les autres sont de revenus de transfère, qui ne sont pas lié directement au travail.
Il est clair que ce phénomène pose problème et ne peut durer encore longtemps à force du nombre de population qui s'agrandit.
En refusant le RBI, on est obligé de parier sur la croissance économique sous n'importe quel prix. Ainsi, nous perdons toute chance aux organisations sociales d'avoir une qualité supérieure.
Aujourd'hui, la croissance économique ne se résume pas seulement à la croissance de l'emploi. Cependant, il n'y a pas de bonne croissance économique sans consommateurs avec un bon pouvoir d'achat.

 Le revenu de base contient 4 critères :

  1. Constituer un droit individuel.

  2. Etre versé sans avoir besoin de prouver un dénuement quelconque.

  3. Ne pas impliquer l'obligation de travailler.

  4. Garantir l'existence et permettre la participation sociale.

Le RBI ne garantit pas d'avoir assez d'argent pour chacun. Il ne vient pas d'en haut, il ne se fabrique pas, il vient par un revenu existant.
Le revenu du travail diminue, mais le revenu de base ne change pas. Ce qui change, c'est ça composition. Un RBI n'est pas un genre de revenu, ni un salaire minimum. Ce n'est pas un paiement de quelque chose, ce n'est pas un revenu lié au travail, chacun reçoit un RBI quoi qu'il arrive.

Contrairement au communisme qui étouffe les personnes et au libéralisme du marché qui cherche à nous isoler, le RBI cherche à une sécurité d'une liberté maximal ; pour que l'individu soit maître de ses choix.
Avoir la liberté de refuser un travail, permet de donner une condition de liberté.

Tous les gens qui contribuent à l'aide sociale s'effaceraient et seront sous le RBI. Ce serait uniquement les prestations complémentaires nécessaire, que la différence serait conservée.
Le RBI éradique la pauvreté et stabilise la classe moyenne en les rassurant. Ce n'est pas l'argent qui donne aux autres, en faisant mauvaise conscience. Ce n'est pas une aide octroyée, quand on est dans le besoin. C'est une perspective pour tous.
Le RBI ne règle pas tous les problèmes, ce n'est pas une question d'argent, mais donne davantage à chacun de trouver des solutions.
Les sceptiques pensent que cela engendrait une diminution de performance et le travail va baisser.

Le financement est acquis, la difficulté est la liberté. Le système d'aujourd'hui fait que cette phrase nous fait peur. Alors, que le RBI est la première vision positive au 21e siècle.

Est-ce que tout le monde resterait à la maison ? Personne n'irait plus travailler ? Alors, tout s'arrêterait, selon ces deux premières questions. Comme si c'était la grève générale et le sens de responsabilité serait hors de vue. Plus personne ne rame, les universités seraient vides.
Pensez-vous que plus personne ne voudra étudier, apprendre sans son capital humain ? Alors, qu'aujourd'hui nous manquons de personnels qualifiés.

Alors nous arrivons à la question suivante ; Que va devenir notre modèle économique ?
A ces personnes qui se posent la question je retourne la question ; à quoi le modèle est sensé servir ?
C'est dans le domaine de société qui est sensé de faire vivre notre existence. Produire et mettre à disposition des biens qui nous sont utiles. Mais, cette façon de voir a complètement disparu.
Aujourd'hui l'économie fonctionne à cercle fermé. On produit des objectifs qui n'a plus rien à avoir avec la vie humaine ou qui peut même détruire la vie humaine.

La question qui risque de se poser, par rapport à aujourd'hui ; C'est de savoir si dans les entreprises, comment savoir diriger les collaborateurs qui ne se laisse plus discipliner aussi facilement dans le besoin d'argent ?
La même chose pour les politiques ; Comment gouverner les citoyens rendus plus indépendant grâce à leur RBI ?
Et, puis comment on se gouverne soit même ? --> Est-ce que tout le monde ne resterait à rien faire, faisant les vacances, avec des montagnes d'ordures et de poubelles pleines dans les rues ? Les parcs aux bons soins des retraités ? Est-ce que le RBI suffit-il à corrompre la société du travail ?

L'esprit de l'indépendance est le plaisir de la réussite.
Est-ce que ce n'est pas l'ennui, si tout le monde a déjà un RBI ?
L'homme est aussi un animal. Qui plutôt préfère un RBI, préfère un terrain de chasse.
Est-ce que le RBI rendrait-il l'homme plus proche ou creuserai encore plus la société à 2 vitesses ?

Je vous laisse réfléchir à toutes ces questions...

On peut dénaturer le RBI :

  • En fixant un revenu trop bas.

  • En supprimant en même temps toutes prestations sociales.

  • En le soumettant quand même à des conditions.

L'idée du RBI, il faut déjà rompre les idées de pensées qu'on reçoit aujourd'hui. Comme, celui qui travail est le seul et le droit de bien manger, de bien vivre. S'enlever les idées fausses où seul le travail contribue un moratoire à la société.

Le sens de l'économie, c'est libérer l'homme du travail. Mais, cela n'est pas mentionné dans les chefs d'entreprises. Licencier n'est facile pour personne, mais c'est pourtant comme ça que ça se passe. Se libérer du travail est aussi se libérer pour le travail.
Pensez qu'au-delà de la frontière RBI on aurait que des loisirs et des vacances, se serait dépourvu de dépendance. Il ne reste qu'un espoir, de nouvelles places de travail.
Si nous voulons changer, alors faut se poser la question ; De quelle nature les places de travail ont investi aujourd'hui ?
Tous les investissements dans les nouveaux postes de travail sont en même temps des mesures de rationalisations. Nous développons des méthodes, pour économiser des emplois.

Comment puis-je faire pour créer plus de travail ?

La tâche de l'économie c'est de satisfaire les besoins. Efficacement, comme chacun faisant ainsi, qui n'a pas pour tâche de créer plus de travail. Et, en face de cette réalité on observe que chaque être humain porte en lui ses propres objectifs et son travail et qui les abandonne, car ils ne peuvent le convertir en argent. Le problème d'aujourd'hui les gens pensent avoir une place de travail, alors qu'en réalité ils ont une place de revenu. Un travail uniquement pour épuiser ses revenus, un travail qui n'a pas de sens. Ce qu'on appelle un conflit du travail est en fait un conflit de revenu. On peut avoir beaucoup de travail, mais pas pour autant de revenu, aussi.

Si y avait un RBI actuel, est-ce que vous allez encore travailler ?

Le 60& répondent oui, 30% oui mais plus à pleins temps ou encore ils feront autre chose. Et, 10% répondent d'abord dormir et après on verra, voyager, reprendre des études ou s'occuper des autres...
Si y avait un RBI actuel, est-ce que les autres iraient encore travailler ?
Le 80% répondent "non." Probablement qu'ils ne seront plus motivés pour aller travailler.

Mais, c'est quoi le travail pour se faire motiver ?
Sans doute pas le travail qu'on fait pour soi-même. Pour celui-là, on se motive tout seul.
Quelle est la motivation pour le travail ? Si y a un revenu de base, qui fera les travaux pénibles ? Y en a qui dise sale boulot. Alors, qu'il n'y a pas de sale boulot en soi, mais de sales idées qu'on en fait, (comme mal payé et de mauvaises conditions).
Trois possibilités qui s'offrent à nous :

  1. Payer plus et offrir de meilleures conditions travail.

  2. Automatiser et rationaliser.

  3. Le faire soit même.

Un artiste par exemple, aujourd'hui il est payé uniquement le temps qu'il a entrepris pour avoir fait une pièce, mais pas du temps passé à chercher l'inspiration de la pièce. Le RBI permettrait de démocratiser cela et donner un équilibre. Comme une maman ou un papa qui s'occupe de son enfant, le temps passé et à l'éducation se serait reconnu et démocratisé. Ainsi, quand l'enfant aura grandi il pourra quitter plus facilement et plus vite ses parents avec son revenu de base, cela laissera aux parents d'entreprendre autre chose plus facilement. Aujourd'hui, combien de ses parents 100% n'arrivent tout simplement plus trouver de travail, par faute de ne pas avoir travaillé depuis longtemps ? Beaucoup trop sont mis en banc touche et cela déclasse ce qui est pourtant noble.
Il est donc important de séparer l'idée entre le travail et le revenu. Se dire, "j'ai un revenu pour pouvoir travailler" et non "j'ai un travail pour avoir un revenu."

Y a 100 ans par exemple, un agriculteur travaillait pour 3 personnes. Aujourd'hui un agriculteur le fait pour 100 personnes, (chiffre au bol). Pourquoi ? Parce que les machines ont remplacé la mains d'oeuvre et pourtant y a toujours plus de travail et toujours pas plus de revenu par rapport au pouvoir d'achat. C'est comme ça pour beaucoup d'autres exemples...
Y a également, là où on a diminué l'humain contre les machines, le coût de la production a baissé pour toujours plus de produits finis. Mais, le coût à la marchandise pour le consommateur a augmenté, pour la main d'oeuvre humaine, (le coût humain coût chère). Exemple, le coiffeur on a le même travail, mais le coût a augmenté. Car, l'homme a besoin d'un revenu et qu'il paie un impôt sur son revenu. Si on regarde le pouvoir d'achat, le coiffeur ne gagne pas plus qu'autrefois. C'est là où on peut voir qu'un travail peut-être rationaliser ou qui ne peut pas. Et, on comprend ainsi, ce qui est la rationalisation.

Etre esclave de l'argent, que cela veut dire ?

C'est de mesurer chaque action à l'aube de l'argent, comme si l'argent est une valeur en soit et qu'il en faut toujours plus. Rendre toujours plus de pouvoir sur l'argent des autres et sur leur espace vitale. Les esclaves de l'argent réduisent les autres en esclavage, par la valeur qu'ils donnent à l'argent.
Avec le RBI ; une partie de la totalité de l'argent servirait par décision démocratique à donner à chacun sa décision de liberté. L'homme serait roi et l'argent à son service.

Est-ce que le RBI créerait une meilleure condition et d'espace vitale ?
Absolument, cela créerait la nécessité de faire quelque chose dans le monde.
Les gérants de fortune disent que le problème on a une masse d'argent, (trop d'argent) et en même temps une sur capacité de production. Nous avons un chômage qui ne fait que croître dans l'ensemble, alors qu'il y a partout des travails non exécutés. Cela doit donc changer, si on ne veut pas sombrer dans une catastrophe globale.

L'agriculture mondiale d'aujourd'hui suffit à nourrir 12 milliards d'êtres humains et nous ne sommes pas plus de 7 milliards environ. Pourtant, chaque heure environ 1000 êtres humains meurent de faim ou de ses conséquences. L'eau est un aliment et fait partie dans les chiffres. L'eau devrait avoir une valeur marchande. Un enfant qui meurt de faim aujourd'hui est un enfant assassiné.
L'argent ne va pas là où on en a besoin, il se barricade des liens sociaux et de ce qu'on reproduit. En réalité, nous sommes dans un système débridé qui en train d'imploser.
Les revenus doivent être séparé du travail et cela devient une évidence, à force...
Le RBI arrangerait énormément de chômeur. Car, y a une quantité de travail, mais il n'y a pas d'argent pour les payer. Le RBI répondrait à l'argent là où il serait plus utile au besoin des hommes.

Création de valeur :

Imaginez un cercle qui est la création de valeur dans une économie nationale. Plus la valeur est productive, plus le cercle grandit. Par création de valeur on entend par tous les bien et service produit et vendu dans le pays pendant 1 année. Cette création de valeur contient une partie publique, (état) et une partie privée. Une partie part dans nos impôt et prélèvement obligatoire. De cette manière nous payons les services écoles, polices, prestations sociales et ainsi tous les emplois assurés par l'Etat. En Suisse le côte part de l'Etat en 2005 était de 36%.

Pour le RBI, par tous les salaires versés par l'Etat serait une autre manière de verser l'argent, car l'Etat obtiendrait déjà les revenus par l'intermédiaire de l'impôt. Tout comme aujourd'hui c'est comme ça que ça fonctionne. Pour tous ces revenus, le RBI serait qu'un changement de faire une autre comptabilité. Pour les privés, l'argent du RBI ne serait pas encore revenu dans l'Etat. Il faut qu'il arrive d'abord par voie fiscale.
Cela engendrait encore plus d'Etat ?
Non, cela signifie moins d'Etat, moins d'acquisitions, moins de mise sous tutelle et moins d'administrations. L'Etat jouerait que le rôle d'intermédiaire, de fiduciaire et au garant de droit au RBI.
Mais, les impôts vont augmenter ?
De quel impôt pourrait-il s'agir... A priori ce serait plus simple de prendre plus d'argent à ceux qui en gagnent plus, au riche. Donc, par l'impôt sur le revenu.
Pour une entreprise, c'est le coût de la vente que l'entreprise doit couvrir. Sans quoi il n'aurait plus d'entreprise. En principe il existe 3 types d'impôt ; la TVA payé directement par le consommateur, les charges salariales et l'impôt sur le revenu.
La TVA ne se percute pas dans le bilan de l'entreprise. La charge salariale c'est le patron et l'employé qui paient chacun leur part. Et, l'impôt sur les revenus est directement lié aux prix de vente.
Exemple :
Le café coût 5.- ou 5 € peu importe...
1/4 de prix sert à couvrir les frais infrastructures. L'autre 1/4 sert à payer la marchandise. La plus grande partie de prix sert à payer les salaires, les services et la gestion. Puis, s'ajoute la TVA, (7,6% en Suisse).
Si le café tombe du plateau avant d'arriver au client, cela est fini pour la création de valeur.
L'impôt invisibles dans la part du salaire, (par rapport au partage du prix du café) sont les charges salariales, l'impôt sur le revenu et les charges sociales. Dans le coût de marchandise y a également des impôts invisibles, car y a aussi des salaires, (comme celui qui a cultivé le café). Il en va de même pour les infrastructures, c'est toujours le consommateur qui paie. Car, c'est avec l'argent qu'il dépense, que tout le reste doit être payé. Y compris l'impôt. Si tous les impôts étaient réunis sur une seule somme invisible, cela représente pratiquement la moitié du prix de votre café. Et, ainsi l'impôt ne récoltera pas au début, mais quand tout est fini et mûre. Ainsi, toute personne serait égale. Le travail au noir n'existerait plus, si l'impôt est prélevé sur la TVA. Car, il n'aurait plus d'impôt prélevé sur le travail, avec le RBI. En revanche, la vente au noir serait une très grande tentation. L'administration diminuerait, temps que l'administration privée aussi et serait remplacé par des contrôleurs de tricheries. L'impôt qu'on ne peut pas y échapper, c'est la taxe sur la valeur ajoutée. Elle est payée là où le consommateur dépense son argent. Cet impôt n'est pas payé par celui qui apporte le café, mais par celui qui le consomme. L'impôt sur le revenu en revanche, fait comme si le revenu est le produit de mon travail. Parce que c'est ce que je ramène à la maison.
L'impôt sur le revenu est l'impôt sur l'économie de subsistance. Mais, il pose problème à l'économie du marché ; il n'y a plus de retraité, plus de chômeur.
Aucun problème sur l'impôt publique, avec l'impôt sur la consommation. C'est aux machines ou robots qui n'a pas d'impôt et donc n'amène pas un RBI. En ce moment, c'est plus d'impôt sur le travail. Mais, après quand y aura plus de machines et de robots, y aura moins d'impôt prélevé sur le revenu du travail. Mais, en contrepartie les robots ou les machines ne perçoivent pas de salaire, non plus. Comme, le coiffeur et la machine à lavé. Par contre, si on considère la création de valeur à chaque produit sans la prise d'impôt et qu'on impose chaque produit aux mêmes taux de TVA, alors le produit du coiffeur coûtera moins et la machine d'avantage, (la machine à lavé par exemple). Le travail humain et le travail de la machine serait imposé de la même manière, car l'impôt serait le résultat de la création de la valeur. La machine ne déchargerait plus seulement le travail de l'humain, mais également une partie de l'impôt. Enfin, si la coupe de cheveux ne diminuait pas, les recettes fiscales augmenteraient considérablement. L'impôt sur la consommation serait prélevé sur toutes les importations destinées à la vente. La production du pays serait imposée de la même manière. L'impôt sur la consommation ne serait pas un bien d'exportation. Le produit qui franchie la frontière n'importe pas la charge fiscale avec lui. L'impôt sur la consommation serait le seul impôt équitable dans la globalisation.

 Le constat est clair ; L'impôt sur les revenus agit constamment comme un frein, alors que l'impôt sur la consommation soutient le développement de toutes les prestations. L'impôt sur les dépenses permet à chacun de se poser la question de la direction qu'il désir prendre dans sa vie.

La TVA comme impôt unique, se serait la méthode la plus simple. Elle dispense de toutes les déclarations d'impôt. Mais, si la TVA reste le seul impôt, que serait-il du planché de taxation d'impôt ? Car, le planché de taxation et le composant social est le calcul de l'impôt. Avec la TVA, l'impôt serait le même pour les pauvres et pour les riches. Qu'allons-nous faire du composant social ? Alors, on fait comme ça ; - On restitue la TVA au gens un montant à leur besoin de base.
Le revenu de base c'est la restitution de la TVA pour le besoin de base, en tant que planché de taxation.
Exemple calcul :
Le RBI est de 1000.- CHF et donc 1000.- revenu.
L'un travail à 1000.- CHF/mois il a donc 3500.- revenu. Et, ensuite pour ceux qui gagne plus ont donc un revenu plus haut...
Si l'imposition du travail disparaît et si tout l'impôt est prélevé par la TVA, sur le résultat de la création de la valeur ; le taux de celle si sera de 100%. La moitié du prix à la consommation ira alors au fisc. Votre café à 5.- fera 2.50.- pour l'impôt.
Ainsi, dans le calcul celui qui dépense 1000.- dépense 500.- d'impôt. Mais, puisqu'il a reçu 1000.- de RBI en réalité il paie -500.-. Plus exactement il touche 500.- d'administration fiscale.
De même sur une dépense de 1500.- par un autre, la moitié au fisc donc 750.- va au fisc. Sur 1000.- de RBI cela lui fait 250.- qu'il touche de l'administration fiscale. Celui qui est à 2000.- n'a donc ni payé et ni reçu du fisc, (à l'équilibre de 1000.- RBI). En réalité, c'est que à la dépense supérieure au double de RBI, que le consommateur est imposé. Ainsi, pour une consommation de 3000.- contiendra 500.- d'impôt. Autrement dit, si on tient compte du RBI le planché de taxation réel ce situe à 2000.- de revenu consommé. A partir de ce niveau le taux de l'imposition sur ce revenu est progressif. Pour 3000.- de consommation est de 17% et cela monte jusqu'à 50% au total sur les revenus consommés plus en plus élevé.

Avec le RBI la progressivité sociale du taux de l'imposition de la TVA serait assurée et surtout efficace.

L'impôt sur le revenu serait plus que la poudre aux yeux. Il nous dispense de regarder de plus près.
Revenant à l'exemple du café, le salaire représente la moitié du prix plus au moins. Avec le RBI il ne compterait plus que pour 1/4 plus au moins. Celle de moitié représente une pression sur les coûts du café et on licencie aussi plus vite. On intensifie le travail à la limite du supportable et il n'y a pas de marge pour essayer autre chose.
Celui qui est au 1/4 aura moins de stress, plus de marge de mains d'oeuvres aux fluctuations, voir même engager un employé de plus. C'est ainsi que la TVA exerce sur l'activité du travail. Une partie de RBI serait déjà couverte par le revenu existant. L'autre partie comme nous l'avons vu, certes qui fait augmenter l'impôt, mais qui revient à chacun un RBI. Y compris à ceux qui revient à l'amont de la formation du produit, comme la production à bien intermédiaire ou de travaux d'infrastructure. L'impôt frappe que le produit fini, l'hors que celui-ci est dans les mains du consommateur.
Cela se traduit que le tiers du prix du café revient à la création de la valeur, donc aux salaires, frais d'infrastructures et frais de marchandises. Le 2e/3 le RBI et le 3e/3 va à l'administration des biens publics. Le tiers de revenu. Le frais salarial reviendrait plus à la moitié des coûts du café, mais le 1/6 environ. Et, le prix du café est resté le même. Le revenu de base (RBI) resterait le même. Car, le revenu de base remplacerait une partie de revenu du travail. Ainsi le revenu de base crée une nouvelle force de négociation du salaire. Si le travail procure par exemple qu'un peu de pouvoir d'achat supplémentaire, peut-être qu'il préférerait rester à la maison ou s'occuper des enfants, (qui d'ailleurs ont aussi un RBI). Et, ainsi sa laisserait de la place à ceux qui ne peuvent percevoir de RBI selon la politique du droit, (aux réfugier climatique/économique par exemple).
Avec le RBI sur le licenciement on pourra le parler haut et fort et pourra peut-être développer quelque chose de personnel. Plutôt convaincu avec des projets que par des revenus.
Le RBI donne plus de poids à une réel collaboration. Peut-être que l'employeur devra payer un peu plus, pour motiver. La culture d'entreprise changera beaucoup. Le RBI amène plus d'égalité à la famille et plus de chance dans le marché du travail.

A côté de la création de la valeur mesurable de l'argent, y a une autre création de valeur qu'on ne peut pas comptabiliser. C'est donc, la création de valeur ; bénévole, sociale, culturelle ou humaine. Avec le RBI, cette création non rémunérée prendrait de l'ampleur. Par exemple, dans la santé sur les soins dévoués, d'activité spirituelle, du temps consacré aux autres, une formation qui valorise, une recherche libérée dans le domaine de la vie et une liberté de créations d'entreprises.

C'est possible que l'activité de création de valeur marchande serait diminué, si par exemple on décide de travailler que 3 jours par semaine. Pour se consacrer du temps à une grand-mère qui elle touche aussi un RBI ou pur créer autre chose et bénéfique pour l'avenir. Avec l'automatisation d'aujourd'hui cela ne réduirait pas à la production. Sur une population plus saine, plus sereine, plus sure d'elle et plus imaginative ; bien des choses en trouveraient de nouvelles valeurs.
La dynamique économique reviendrait renforcée. Ainsi, la création mesurable de la valeur de l'argent.

Le RBI nous laisserait le temps à se questionner le sens de la vie !

La création de la valeur ajoutée peut aussi être des taxes des dividendes, des taxes de changes boursiers bancaires, et autres...

Pourquoi nous n'avons pas encore de RBI ?

Tout est orienté, les entreprises et les écoles à la société du travail. Nous ne pouvons renoncer à cette orientation. Au fond il s'agit d'un symptôme, s'accrocher de vieille conception à de nouvelles situations comme nous le vivons actuellement. Et, symptomatique que les vieilles conceptions nous ont déjà lâché. Nous sommes ainsi désorientés sur une explication d'un nouveau système, telle que ci-dessus.
Il ne s'agit pas de faire continuer le système actuel, mais d'envisager des alternative, des idées nouvelles concrètes et visibles. Un RBI n'est pas une assistance, c'est un droit civil. C'est le droit de chaque personne de profiter du bien-être de la nation. Cela impliquerait une sortie des pauvretés aussi, dans les pays à grande difficulté économique. Dans le sujet du RBI on a parlé de la réduction de dette, voir la supprimer totalement. Avec le RBI on peut supposer de supporter l'hyper inflation des prix, où la monnaie perd son pouvoir de valeur, (comme s'est passé en Venezuela où 1000.- de billet par exemple représente un achat d'un stylo seulement et donc que le billet ne représente plus rien).

L'hors de calcul de base, il ne faut pas calculer les prestations fournies. Mais, par le RBI nous rendons possible la contribution de chacun à la société. Le travail que vous ou que d'autres exécute n'a pas de prix, mais votre revenu le rend possible.
Dans le début d'article avec l'affiche des opposants perçu d'un homme sale, c'est vu d'une manière qu'on ne peut pas faire confiance à l'individu. Y a aussi l'effet pervers où les plus âgées qui ont tout donné refuseraient ce genre de revenu à tout donner aux indisciplinés. Mais, puisque ce n'est pas très chic de dire de cette manière, on dira : Comment pouvons-nous les financer ?

Mais alors, à ces opposants qui n'ont pas bien compris l'enjeu du RBI, qui n'ont pas confiance à l'humain et à ces personnes qui ont de la peine à faire changer un système où eux même ils ont tout donné. Si eux changent de comportement ce ne serait pas seulement à leur revenu que cela changera, mais à leur santé mentale.

Merci de m'avoir lu si long, je vous laisse décortiquer et voir plus loin encore des détails à peaufiner, à d'autres sujets que je n'aurais pas peaufiné en détail ici. Enfin, pour la création d'un tel système possible pour votre pays, par exemple, il faudra toute manière être l'acteur et non plus spectateur.

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