Le bien-être d'un enfant pour les couples homosexuels
Article écrit en été 2022.
Le bien-être d'un enfant pour les couples homosexuels
La vie d'un enfant chez un couple gay ou lesbienne.
La vie d'un enfant qu'on le veuille ou non il doit être traité universellement la même chose, que tout être humain qui ont joui d'un père et d'une mère de leur propre affiliation biologique. On appelle cela la protection de l'enfance, au droit de l'enfant. Ce droit ne doit pas être un choix personnel des parents, comme si un enfant est un jouet et qu'on choisit ce qu'on veut de lui.
Ce sujet intervient sur la votation du mariage pour tous.
Regardez vous le côté noir ou le côté blanc ?
Il
y a quelque temps j'ai écrit un article sur le
mariage des homosexuels gays à l'Eglise. (Désolé
si j'ai mi que le terme masculin dans le titre).
Dans
cette optique de cette article écrit était dans un intérêt d'être
un auteur neutre, ne mettant pas ma propre nature hétéro dans les
études. Afin d'être au plus proche de la compréhension des
homosexuels, de l'empathie d'égalité et d'amour de Dieu pour tout
le monde. Alors, pour un enfant c'est la même chose des homosexuels
qui ne doivent pas s'appuyer de leur propre nature, mais que la
nature reste universelle pour un enfant.
Car par exemple, la
nature d'un homo est identique à lui et la nature d'un hétéro est
à l'opposé de lui. Mais, nous naissons tous à la même procréation naturelle venant des deux sexes opposés.
Aujourd'hui j'accorde qu'on ne parle plus vraiment de mariage à l'affiliation, mais d'un mariage de l'amour. Alors, que le mariage a toujours été dans une optique d'affiliation et non de seulement à l'amour. Car, beaucoup s'aiment et sont fidèles sans être marié.
Exemple
témoignage d'un couple lesbien, vu à une émission TV :
Elles
disent ; "Il ne manque pas forcément d'un papa."
C'est
à bannir cette généralité de pensée grave. C'est une maladie
psychologique, pour certains psychiatres.
On ne peut pas se mettre
dans la peau d'un enfant, non plus ! On ne peut pas faire ce qu'on veut
de lui, il a le droit de jouir d'un père. Ma phrase n'est pas
seulement d'une pensée hétéro, mais du bien-être de
l'enfant.
C'est comme si alors un couple gay disent que leur
enfant n'a pas besoin de mère. Qui a raison dans ces conditions, si
on mettait le même enfant ?
Un enfant n'est pas un jouet, ce questionnement "qui aurait raison" est donc une pure pensée des parents et non universelle, on ne peut pas avoir raison si les deux couples homos que j'ai sorti en exemple diront chacun le contraire ! Ce qui est universelle c'est qu'un enfant a besoin d'un et de l'autre et non d'un ou d'une autre. C'est presque de l'hétérophobie si on creuse un peu plus loin de cette psychologie de priver un enfant d'un ou d'une autre, sous prétexte qu'on est homo ! Sauf dans les cas où l'homme serait violent, mauvais mettant en danger y aurait exception, mais sinon ; quand une femme hétéro empêche que son enfant ait une affinité avec son père, de connaître son père et disant "qu'il n'a pas besoin de son père", (par pure égoïsme et narcissique) est considéré d'une psychologie SAP. A moins que l'un abandonne son devoir et ses droits de parent, cela n'est pas différent que cette phrase du témoignage sorti de leur bouche !
Autre
témoignage, cette fois d'un enfant vivant avec deux mamans : il dit
;
"J'ai
deux mamans c'est tout. Et, oui je connais mon père biologique, mais
c'est simplement un ami de la famille."
C'est
une triste réalité bien fréquente pour le père, même si cela a
été fait amicalement. Et, de comprendre qu'elles ont appris à leur
enfant de renier "que son père biologique est aussi de sa
famille" ; c'est une part que je ne souhaite vraiment à
personne de faire ça à leur propre enfant.
Dans cet exemple de témoignage, l'enfant n'avait pas de sentiment de manque et de
tristesse, (on lui a habitué que cela soit normal). Pourtant, cette situation amicale c'est comme si deux personnes hétéros font un
enfant par plaisir, sans sentiment, pour ensuite lui apprendre que
c'est normal de lui induire la norme de l'abandon et le faire élever
d'une autre famille à choix d'eux même. Et, ainsi si 1 fois, alors
cela se répéterait entres plusieurs amis.
Exemple ; "Salut
camarade, si tu ne fais rien spécial se soir on peut s'amuser à tenter
faire un enfant. Je connais un couple d'ami qui souhaite être une
famille d'un enfant, qu'on peut leur donner." Entre hétéros dans le monde telle que nous vivons et que nous
connaissons, on ne trouverait pas cet exemple normal. Si nous
sommes tous à pied d'égalité entres histoires d'hétéros et
d'histoires homos, alors cette histoire de témoignage ne devrait
normalement pas exister.
SAP Syndrome d'Aliénation Parentale : c'est un peu l'exemple que j'ai mi de la femme hétéro qui empêche à son enfant de voir son père, par exemple. De penser que son enfant est que à elle, que l'enfant sera heureux qu'avec elle et cela de manière inconsciente qu'elle fait du mal à son propre enfant, (en lui privant de son père). Ou, encore que l'enfant dise à sa mère, "que ce qu'ils ont fait comme activité est un secret," alors qu'ils ont fait que des choses innocentes, (jouer au foot par exemple). Et, les narcissiques vont encore plus loin en influençant à son enfant d'être contre son père ou que l'enfant pense qu'il est normal de ne pas rendre visite à son père, (en croyant qu'il a pas le temps sous les dires et les pensées de la mère).
Donc, le syndrome primaire est ainsi de ; penser que son enfant n'a pas besoin du père et que l'enfant y croit, dans l'exemple. Le syndrome Aliénation Parentale vient plutôt chez l'enfant et l'Aliénation parentale vient des parents. Le toute est dans un ensemble des parents à l'enfant et de l'enfant à l'un de ses parents. De manière générale ce syndrome intervient souvent après une situation de conflit, ce n'est donc pas le temps imparti qui fait fois, ni même de la manière à la situation. Mais, de simplement le penser et d'être persuadé psychologiquement pour son enfant qu'il peut renier sous influence. Ou, encore de l'insinuer qu'il est normal de ne pas reconnaître l'autre, pour son enfant. Ainsi, en faisant cela ; la psychologie de l'enfant développera d'un syndrome aliéné en culpabilisant ou en ignorant des faits ou encore en s'éloignant l'un de ses parents et de manière endoctrinée de l'autre parent.
Que la personne soit hétéro reniant l'autre pour son enfant, amicale ou en conflit. Ou que la personne soit homo ce sont des personnes égales, ce n'est donc pas la façon comment cela est fait. Mais, de la manière d'induire à son enfant que "un enfant n'a pas besoin de l'un" pour les homos. C'est alors aussi de la même manière que l'un dit pour son enfant "il peut très bien s'en passer de l'autre" chez les hétéros, (et cela de manière conflictuelle le plus souvent ou amicale ça ne change rien). Ce choix "de ne pas avoir une affinité de contact et de vie avec l'un ou l'autre" doit rester dans le choix de l'enfant, à des situations spéciales, (comme l'abandon d'affiliation du parent lui-même, porter aucun intérêt à son enfant, soit mauvais faisant peur à l'enfant, et autre négatif).
C'est pour ça que je relie entre cette exemple SAP, à l'exemple où les homos diront de leur propre pensée, "que l'enfant n'a pas besoin de l'un ou de l'autre". Au nom de la liberté ? Non, la liberté des parents, mais une anti liberté à l'enfant. L'enfant ne comprends pas tout suite à son bas âge, mais une majorité vont le comprendre les souffrances de SAP qui auraient pu être évité ! Les souffrances "qu'on a poussé l'enfant à renier" l'un de ses deux parents.
C'est pourquoi il est impérativement important que quand un couple homo marié souhaite un PMA (procréation médicalement assistée) ; le donneur du sperme doit l'obligation de reconnaître au minimum l'enfant. Ensuite, le choix du droit de regard et de devoir est à laisser désirer, si l'enfant est bien éduqué chez les parents homos. Mais, la reconnaissance est très importante pour le droit de l'enfant. Il peut se résigner d'avoir le droit de garde et de regard 100%, mais qu'il est le droit de visite si l'enfant le souhaite et l'enfant fera le choix en grandissant, (d'où le donneur peut aussi apprendre à l'aimer). Le choix de la liberté de l'enfant doit rester neutre de nos avis différents, on n'a pas le droit de choisir pour son enfant sur ces aspects d'équilibre d'un père et d'une mère. Un PMA en tout point de vue pour la protection de l'enfant et de l'humanité ; le donneur ne doit pas être anonyme. S'il est anonyme, alors il n'est pas différent qu'un père qui abandonne son enfant volontairement, (ne voulant pas le reconnaître quand cela doit rester restreint) ! Y compris pour le GPA gestation pour autrui qui est le contraire, d'une mère porteuse pour un couple gay. On sait que le GPA est fortement interdit par rapport au PMA, dans divers coins dans le monde, (notamment à cause d'abus de trafic être humain). J'ajoute qu'on peut comprendre que ceci peut engendrer une inégalité des couples mariés homos, il n'est pas à ignorer dans l'avenir qu'un encadrement doit se faire.
Vous
me direz les monos parentaux où l'un est inexistant, on l'interprète
comment ?
C'est autre chose, l'enfant a connu son affiliation, son
identité. Une photo, un souvenir ou connaissance d'histoire de son
père/mère biologique ; on ne parle donc pas de la même chose.
Vous
me direz pour les orphelins qui sont adopté par un célibataire, on
l'interprète comment ?
C'est toujours mieux qu'un enfant puisse être
adopté par un homme et une femme, pour l'équilibre sur l'affinité
d'éducation de chacun. Mais, en contrepartie encore une fois on ne parle pas de la même chose. L'enfant sait que son identité de ses
parents biologique sont décédés, par exemple. Et, qu'il sera
toujours mieux qu'un orphelin puisse sortir de l'orphelinat et jouir
d'une vie de famille ou en tout cas d'être adopté par une personne
qui puisse lui donner de l'amour, (et d'une éducation de devoir
parentale). Donc, les parents homos il ne faut pas le nier que leur
enfant adopté aura tout de même ce manque d'affinité d'éducation
de la mère, (ou père pour une famille lesbienne). Une femme ne peut
pas remplacer un homme et inversement aussi, aucune base scientifique
prouve le contraire.
Je ne parle pas à savoir si l'enfant sera heureux ou pas, il s'adapte généralement à toute situation. C'est lui-même qu'il cultivera d'essayer d'être heureux, comme tout adulte. Je ne parle pas de parent, le rôle d'un parent et de devoirs, que l'enfant s'adapte aussi à toute situation. Il ne faut pas tout confondre, je parle uniquement pour l'enfant de son droit et ne pas lui induire en erreur. Appart, l'affinité différente entre un homme et une femme sur l'éducation qui peut se distinguer, l'enfant peut très bien vivre aussi avec des parents homosexuels.
Point de vue juridique : Pour contrer ça, il faut alors que le PMA/GPA pour les homos ; l'un des deux parents qui ne vit pas en couple homo soit aussi reconnu père ou mère au sens inverse. De laisser le droit de retrait d'autorité parental pour le donneur ou la donneuse. Et que l'enfant ait alors 2 mères et un père ou 2 pères et une mère inscrit dans son état civil. Dont, l'un des deux mères ou des deux pères perd son identité mère/père dans son dossier matrimonial, si il/elle n'est pas biologique à l'enfant après un divorce du couple homo. C'est un peu la même chose qu'un père se remarie dans sa vie avec une nouvelle femme et que cette dernière devient belle-mère, faisant aussi un peu son rôle de mère quand l'enfant est présent. Pour l'enfant si l'amour est là et que l'affinité est là, alors ; il dira aussi maman comme s'il avait 2 mamans. Il sera faire la différence entre la mère biologique et l'autre, comme nous avons su faire la différence quand on était enfant. Il ne l'appellera plus "maman" dans tous les cas, si y a eu à nouveau divorce de son père avec sa belle-mère. Donc, point de vue juridique cela ne va pas infecter l'enfant, sur l'exemple que j'ai énoncé.
Les questions ?
J'ajouterai au fur à mesure, si cela est utile et généralisée. Vous pouvez me le demander en commentaires, aussi.
Pourquoi on en parle tant ou beaucoup plus du PMA aujourd'hui qu'avant ? Parce qu'avant on était avec une très petite minorité qui ont eu recours au PMA, (et à l'avenir GPA) donc très limité et généralement seulement aux personnes de problèmes de fertilités. Maintenant, cela va concerner beaucoup plus, alors qu'il y a tant d'enfants à adopter selon moi.
Prévoyons
d'aller plus loin, comme "bébé sur commande" conçu comme
nous choisissons ?
Oui, c'est une dérive à pas ignorer. Cette
technologie a déjà été soulevé dans des divers articles.
Est-ce
qu'il y a une part d'homophobie pour ceux qui sont contre le mariage
pour tous ?
Non,
il n'y a pas d'homophobie quand y a des arguments et des
avis. Peut-être
quelques-uns qui sont alors sûrement raciste sur certains aspects à
d'autres sujets, il faut d'abord connaître la personne avant de le
savoir. Mais, en grande majorité c'est dû au problème de loi sur
le PMA et la reconnaissance de parents biologique, (soulevé dans
cette article). D'autres se sont des personnes qui parleront selon
leur croyance religieuse personnelle, avec parfois un manque de
connaissance de l'amour de leur Dieu. Certaines personnes parleront
selon leur propre nature, n'étant pas neutre dans leur discours.
Et,
Certaines n'aiment pas ce genre d'évolution tout simplement, mais
elles n'aiment pas d'autres évolutions aussi très souvent le cas.
Mais, on constate très souvent que c'est les hétéros qui ont un avis différent qui sont pointés du doigts par des associations
homophobies et des homosexuels hétérophobes. L'homophobie est trop
utilisée à l'aveuglette dans les pensées de ceux qui le disent,
quand l'homo veut avoir raison sans recule en général.
Par
contre, les arguments insultants ou qui sont à caractères d'écraser
un homo, (juste parce qu'il est homo) alors oui, on peut le dire
selon le sentiment reçu.
Est-ce
qu'il y a un problème d'acceptation aux personnes différentes
?
Certains arguments peut-être, mais il ne faut pas non plus
généraliser. Il faut simplement les écouter et leur parler
calmement, le reste fera son chemin à l'évolution de chaque
personne et d'évolutions personnelles.
Est-ce
que les gens ont peur, pour ceux qui sont contres ?
La peur est
une chose qui évite d'arriver à des dérives, qui permet de donner
des solutions, des ouvertures de sujets et bien d'autres choses qui
peut soulever bien des questions et utiles.
On est avant tout
dans une démocratie, on cultive les avis et des débats. La peur est
tout à fait normale, il ne doit pas être reconnu comme mauvais, (où certains homos vous feront remarquer que vous êtes mauvais par votre
peur). Le jugement est trop bien facile donné, quand on vous connaît
pas ou quand on ne vous comprend pas.
C'est un sujet brûlant et en même temps d'une alerte en toute logique, pour la protection de l'enfance. Pour le bien-être de l'enfance. Pour le droit de l'enfance. Pour l'égalité de traitement à l'enfant. Si, y a des homosexuels qui n'approuvent pas ceux-ci ou qui n'accepte pas les avis contraires à leurs pensées, alors peut-être qu'ils sont hétérophobe.