La vie sur les réseaux sociaux

Article écrit fin 2019.

La vie sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux comme Facebook, VK et autres ne sont plus aussi sociales qu'on l'aurait pensé au moment de leur création.


Le réseau désocialisation est un fait réel.

C'est un fait de constatation au fil des ans qui passent, où notre socialisation devient éphémère. Laissez-moi expliquer pourquoi j'arrive à cette conclusion, qui est souvent partagé par plus grand nombre qu'on le pense.
Avant la création des réseaux sociaux, y avait un logiciel de chat entres personnes qui détenait un Email, chez Microsoft, (à travers le fameux MSN chez hotmail). Bien entendu y avait aussi d'autres styles d'applications et de logiciels de chat, mais parlons nous de ce qui était le plus connu.
A travers lui, on s'obligeait encore à rencontrer les personnes qu'on avait en contact, c'était comme un remplacement de SMS ou d'une application d'échange de chat et de conversations vocales, (avec ou sans webcam). "Obliger" est un grand mot, mais du fait qu'on avait nul autre partage à se consacrer que par des messages privés ou en groupe de conversations. Et donc, encore pas grand-chose pouvait nous remplacer des liens sociaux réel. Je vais m'expliquer un peu plus loin, où je veux en venir "nous remplacer des liens sociaux réel".

L'exploitation de notre plaisir.

Les grandes multinationales ont étudié sur le comportement humain, pour leurs ventes de produits ou des utilisations de leurs produits.
Certaines exploitent notre recherche du plaisir, pour nous vendre davantage de produits. C'est ce qui affirme le "pédiatre et endocrinologue américain Robert Lusting." Comme aussi d'autres médecins qui connaissent ce phénomène et qui est connu de tout ce que nous faisons dans nos habitudes, de nos passions, de notre travail et etc...
Il s'est posé la question, comment les entreprises vendent leurs produits ou comment les rendre à l'utilité du plaisir ?
Vendent-elles leurs produits en se basant sur le concept du plaisir ou en se basant sur le concept du bonheur ?
Quelle est la différence entre le plaisir et le bonheur ?
Y en a 7 connu et important à comprendre :

  • Le plaisir c'est du court terme. Et, le bonheur c'est du long terme.

  • Le plaisir est viscéral, vous le sentez dans votre corps. Le bonheur est impalpable, vous le sentez au-dessus du cou. Ecouter son corps...

  • Le plaisir c'est prendre. Et, le bonheur c'est donner.

  • Le plaisir s'exprime seul, alors que le bonheur on le vit avec d'autres personnes.

  • On peut atteindre le plaisir avec certaines substances. On ne peut pas atteindre le bonheur avec certaines substances.

  • Les extrêmes du plaisir, qu'il s'agisse de substances ou de comportements des substances, comme ; la drogue, l'alcool, le sucre, faire du shopping, les jeux d'argent, les réseaux sociaux, les jeux sur Internet, la pornographie... Si tous poussés à l'extrême, ils créent une dépendance. On peut être accro à tout. Mais, on ne peut pas être accro au bonheur, ça n'existe pas.

  • Enfin, le plaisir c'est de la dopamine. Et, le bonheur c'est de la sérotonine. Deux neurotransmetteurs différents, deux parties différentes du cerveau, deux types de récepteurs différents, deux systèmes de régulation différents. Etc...

Vous vous dites, pourquoi s'en soucier ? Les deux font du bien. En fait, ça pose un gros problème. Car, la dopamine qui est le neurotransmetteur du plaisir tue les neurones lentement. Mais, elle les tue. Les neurones aiment être stimulés et c'est ce que fait la dopamine. Mais, ils n'aiment pas l'être de façon trop insistante. La sur-stimulation chronique de n'importe quel neurone, (dont les neurones à dopamine) amène la destruction des cellules. Et, c'est ce qu'il se passe avec l'addiction. Avec la sur-stimulation chronique, on obtient moins de satisfaction. Donc, on finit par en vouloir toujours plus. Et, lorsque les neurones commencent à se détruire, c'est ce qu'on appel de l'addiction.
La sérotonine ne détruit pas les cellules. Elle n'excite pas, elle inhibe, elle freine l'excitation. Donc, on ne peut pas faire une overdose de bonheur. Mais, il y a une chose qui diminue la sérotonine ; c'est la dopamine.
Donc, plus vous cherchez du plaisir, plus vous serrez malheureux. Et, les industries, surtout les industries agroalimentaires ont volontairement confondu et associé le plaisir et le bonheur, pour vendre leurs produits. Le marketing cherche même à nous rendre accro. Nous avons de nombreux comportements que nous appelons "des habitudes."
Pourquoi vous croisez vos bras comme ceci et pas comme cela ? (Inversement). C'est une habitude. Les habitudes se développent à cause des récompenses qui leur sont liées. Ce qui transforme une habitude en addiction ; ce n'est pas la récompense fixe, c'est la récompense variable, (la récompense n'est pas la même à chaque fois). Peut-être que ça va rapporter ou peut-être pas.
Votre téléphone portable offre une récompense variable. Parce que peut-être que lorsque vous recevez un Email, ce sera un bon ou pas. Peut-être, que ce like sur Facebook va libérer une dose de dopamine ou pas. Et, c'est cet effet cette récompense variable qui engendre du stress. Parce que vous ne savez pas ce qu'il va se produire. Donc, vos attentes sont plus élevées, votre stress est plus grand. Et, ce stress en plus de la dopamine vous entraîne vers l'addiction.
Les jeux vidéo, les réseaux sociaux, ces applications de notifications et programmes basés sur la mécanique du jeu sont tous conçus pour nous rendre accro.

Les enfants et adolescents seraient particulièrement vulnérables.

Il y a une zone de votre cerveau, juste sur le front, devant. Qu'on appelle le cortex préfrontal. C'est le siège des fonctions exécutives. Il nous permet de faire le lien avec le futur. La partie de votre cerveau qui vous empêche de faire des bêtises. Et, il s'avère que cette zone du cerveau est la dernière à se développer.
Donc, plus on a de la dopamine et du stress pendant la puberté, plus on a des chances de finir accro.

C'est ainsi, que nous devenons également tous incontrôlable face à la technologie qui nous entourent par de multiples notifications, si et seulement si, nous ne faisons pas attention à réfléchir et à se mettre des barrières psychologiques. C'est à dire, savoir-faire un temps pour tout en limitation. Cette image illustre bien de ce phénomène, de même que pour certains ont tendance à force d'être isolés de rencontre réel mettent leur vie privée. Dévoile tout ce qu'ils font, ce qu'ils mangent, ce qu'ils vivent, dans leur petite vie. C'est ainsi, que les réseaux sociaux sont devenus des réseaux de désocialisation. Il est bon de partager nos photos, nos discutions, nos rires. Mais, ce qui n'est pas bon c'est de s'en arrêter à ce virtuel et d'où les relations deviennent éphémères, qui nous feront rappeler dans nos moments de solitudes. Dans nos moments où on va se sentir vide, manque de relation humaine, un cerveau qui ne réfléchit plus, (si ce n'est que sur son malheur). Il va le combler à entreprendre par la suite sur son habitude, la TV ou les jeux et etc... Mais, il restera sur le même point dans sa solitude. Voilà, le danger de ces réseaux sociaux comme Facebook, en l'effet du plaisir. Et, personnellement je le remarque dans le comportement des autres ou de moi-même, mais surtout que plus personne ne vienne se rendre visite, vienne se proposer de faire une activité ensemble et etc...
Cela s'est estompé peu à peu à l'évolution de notre temps, grâce à tout ce que j'ai expliqué sur la dopamine entre autres. Mais, aussi à de mauvaises habitudes où les gens préfèrent rester dans leur confort personnel.
Bien sûr que nous avons la solution de sortir à aller boire un verre, mais ça s'arrête là comme imagination à faire avec nos contacts, notre cerveau s'est vidé. Vos grands parents, je pense qu'ils vous diront combien de choses ils faisaient entre contacts...

Contact par intérêt.

C'est ainsi, que nous arrivons aussi à ce genre de discourt que je voie beaucoup sur Facebook ; "on nous contact que par intérêt."
Ou, style "quand c'est de rendre service on est là, mais quand il n'y a plus rien et qu'on demande en retour, personne n'est là pour vous."
Sachez qu'avant vous, ces pensées sont pour pratiquement pour tout le monde, ne croyez pas d'être seul à ce sentiment.
Ces gens qui sont constamment à vous contacter uniquement quand ils ont besoin de quelque chose, un service ; je sais bien que ça peut peser, mais c'est cette pensée qui vous pèse et pas ceux qui sont comme ça envers vous, en réalité.

Vous allez peut-être me dire que je réfléchi bizarre. Mais, quand ces sentiments vous arrivent au moment de vos solitudes, réjouissez vous plutôt d'être une bonne personne qui sert les gens, même si vous pensez que d'être bon cela peut vous amener à être un bonbon qu'on vous mange. Usez-vous de patience, ayez plus de joie à servir ou à donner que de recevoir.
Jusqu'à votre limite et remettez vous en question quand le moment arrive de penser au négatif des autres, sur leur comportement envers vous. Rien ne vous empêche de dire parfois "non". Mais, ne le dites pas parce que vous pensez ces choses négatives, mais uniquement par vos limites personnelles. Pour vous protéger de cette pensée négative sur les comportements de votre entourage. C'est en dépassant votre limite, que vous commencez à pointer du doigt. Et donc, cette pensée négative "qu'on profite de vous" est de votre propre responsabilité et non la faute des autres.
Vous verrez une vie différente, plus de joie où le bonheur est meilleur, même si cela vous coût un risque qu'on profite de vous et que vous n'aurez pas pu goûter un meilleur plaisir. Car, vous serez récompensé en retour, je vous assure. Et, ne demandez rien en retour, quand vous aidez ou quand vous rendez service. Ce que vous faites est de bon coeur et non un salaire. A moins, que vous lui informez "que vous le rendrez en retour" de son temps pris pour vous ou que vous "demandez quelque chose en retour" pour une tâche accomplie, (avant de passer à l'acte de rendre service).

Imaginez comme cette autoroute au-dessus du Lac Léman, il n'a pas d'obstacle pour que vous puissiez arriver jusqu'au bout de votre route. Passez au-dessus des villes, qui vous permet d'aller sereinement à votre destination, poursuivez et surpassez vous des chantiers.

Photo prise en début été 2019, par moi. Entre Montreux et Villeneuve.

Les partages, les notifications et tout ce qui nous entourent à la consommation régulière et extrême nous éloigne. Facebook est l'outil parfait pour éloigner les gens. Même, s'il existe des groupes où on s'organise à des rencontres, très souvent ces groupes n'aboutissent pas à une réelle amitié, (que par entres petites bandes de copains). A travers les rencontres entre groupes, nous a juste permis à pouvoir s'occuper et avoir un intérêt des autres et de soi, pour passer son temps. Mais, ceci est pour un petit temps, après on oublie assez rapidement les gens qu'on a rencontré dans les groupes et certains pas. A cause de simple intérêt de soi à passer le temps au plaisir et qu'à force de partager de tout sur les réseaux on se contente dans notre confort à en rester là. Pour certaines elles essaient même se réconforter en disant pleins compliments bien publiquement, sans être capable de le dire en réel, pour juste une photo par exemple.
Vous le voyez même quand y a un groupe de personnes qui se connaissent, marchant dans la rue ou attendent aux arrêts de bus ou ailleurs et ne se parlent pas beaucoup, plongées toutes sur leur téléphone. C'est l'effet domino de la dopamine sur notre comportement envers les autres, par une addiction stressante s'il a pas eu la dose satisfaisante. Et, puisqu'on se satisfait trop court, nous répétons le même geste instinctivement, ne se rendant même plus compte.
Je ne me dis pas que je suis meilleur que les autres, je suis tout autant piégé que vous. La différence, c'est qu'en comprenant cela on commence à réfléchir et espérer que quelque chose change. Pour que ça change, il faut se ré habituer parfois de revivre le temps où nous vivons sans Internet. Ou, en tout cas sans réseau sociaux. Les calendriers pour informer les événements n'est pas pareil, là on est plutôt dans l'information d'activité qui existe autour de nous. Tout comme, les pages de médias qui est une aubaine pour s'auto cultiver.

Le mal être des gens.

Grâce à l'isolement sur la désocialisation les gens adultes redeviennent comme des enfants qui se chicanent. Même, encore plus loin que les méchancetés entre enfants, parfois. C'est à dire des insultes, des dénigrements, de ne plus savoir construire une discutions dans le respect, de savoir comprendre ou de ne pas savoir demander de ce qu'on a pas compris. De ne plus savoir corriger avec sagesse une personne qui dit une erreur, des moqueries, des rabaissements, du racisme et j'en passe.
Encore une fois, ce mal être des gens qui ressorts plus facilement dans les réseaux sociaux est dû à la facilité d'être derrière un écran, mais surtout à un cerveau qui s'est appauvri. Le bonheur devient de plus en plus absent et le plaisir prend de plus en plus une importance.
Cela ne s'excuse pas sur le comportement des adultes, sur la toile. C'est un danger sur l'éducation des plus jeunes, des enfants et ado qui voient un monde où les adultes sont censés être plus instruit dans une conversation et que pour finir c'est le chaos d'incivilités qui devient maître.
Evidemment, que nous savons également que le caractère de la personne joue un rôle. Mais, beaucoup d'entre eux se déchargent envers les autres internautes d'une manière inappropriée que sur les réseaux sociaux. Et, qu'elles refléteront d'une autre personne complètement différente, en situation réelle. Cela n'a pas été prouvé à ma connaissance, par rapport à la dopamine. Mais, le rôle d'addiction, (avec le stress entres autres) se montre tout à fait complice d'un comportement agressif. Car, le rôle addictif se trouve absent quand ils se trouvent d'une situation différente en réel, que d'être captivé et accro à son écran. Sauf, quand on associe le plaisir aux sports addictifs, où nous sortons nos énergies explosives qui sont des captivités plutôt saines, (si ce n'est pas à l'extrême au-delà de faire trop encore une fois).

Le burn out.

Souvent on rencontre le burn out après de multiples excès de travail, pesant sur le moral. On aura envie toujours plus de dopamine liée au travail, qui pour finir nous ne rends plus en plus malheureux. Même, si nous aimons beaucoup de ce que nous faisons, comme expliqué à la théorie de la science humaine sur notre état physique notre cerveau ne va plus pouvoir suivre de ce que notre corps peut supporter et de notre moral peut endurer. La dépression n'est pas un effet relationnel, d'un air triste seulement. Mais, plutôt à cause des dépassements de notre excès à devenir malade de la situation. Et, la maladie dépressive vient nous informer que nous sommes arrivés à bout.

Le bouton partage sur les sites Internet.

Il faut savoir pour les boutons partage de Facebook sur les sites Internet, (que vous visitez) n'est pas juste un simple bouton partage restant inactif si vous en n'occupez pas. Au contraire il fait bien plus que ça à votre insu :
En visitant des sites ayant le bouton partage de Facebook si c'est un site où vous n'êtes pas connecté dessus, il récolte vos données anonymement à votre insu. Ce bouton en réalité récolte des données de votre endroit, dans votre maison si vous visitez le site chez vous. Sans même avoir de compte Facebook, ce dernier crée automatiquement des comptes fantômes appartenant à telle personne qui n'a pas de compte et récolte toutes les données où la personne concernée visite des sites, ayant un bouton partage. Donc, votre vie privée sur votre conscience personnelle, vos goûts etc...
Donc, même n'allant pas sur Facebook, ni n'ayant pas de compte on est berné.
La vie privée de la génération avenir n'existera plus, ce sera un terme dépassé. Oui oui, je le confirme !
De plus, il faut savoir qu'en récoltant ces données, c'est ainsi que Facebook vous envoie sur votre mur d'accueil vos intérêts, mais aussi si vous regardez pleins trucs négatifs ; ils vous enverront des trucs négatifs dans votre mur d'accueil.
Testez et observer sur 1 à 3 mois, vous comprendrez pourquoi que partager de tout et de rien sur ce que vous visitez ; vos contacts savent votre humeur, ce que vous visitez quotidiennement sur Internet et bien plus. A condition que vos contacts savent cette astuce.
Facebook peut déjà à présent vous manipuler votre humeur, mais aussi votre interaction sociale et donc cela veut dire que ; plus vous partagez des conneries de gags ou des trucs rigolo par exemple, plus Facebook vous enverra des genres identiques sur votre mur d'accueil et plus ils vous robotisent inconsciemment. C'est ainsi que vous perdez le goût de vivre en relation réel entres vos proches et amis/potes/connaissances...
Ce dernier paragraphe, me fait comprendre pourquoi plus le temps passe, plus je voie les gens dirent trop de chose en l'air et s'oublient les uns des autres. Pour ma part, c'est un double travail pour contrer ce phénomène, afin d'être le moins infecté.

Qu'est-ce que vous avez à changer ? Qu'est-ce qui vous interpelle dans vos excès ?
A vous de vous juger, de vous analyser, de vous faire vos propres réflexions. Personne d'autre doit se donner le droit de conduire de comment vous devez penser ou vivre. Il est de votre devoir de rendre le monde meilleur, selon à votre envie et de votre capacité à l'équilibre.
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