Discrimination Suisse
Article écrit le 27.05.23
Discrimination Suisse dans le monde professionnel
Nous entendons beaucoup de thèmes discriminatoires différents qui sont très souvent dénoncés, ici on parlera plutôt envers les extras européens, (hors UE). Ainsi, dans un thème bien huilé dans le monde professionnel, duquel la population locale s'est habituée à le savoir.
Il y a quelques années encore où j'écris l'article un étranger venant d'hors de l'Union Européenne pouvait encore trouver assez facilement du travail, même si un peu précaire l'étranger avait toutes ses chances de s'en sortir s'il voulait vraiment travailler. Aujourd'hui ce n'est plus vraiment le cas depuis peu d'année, l'Etat Suisse ont durci les lois envers ces étrangers spécifiques. De manière cachée pour ne pas percevoir d'un pays envers les autres ; une discrimination raciale point de vue administrative.
Ces étrangers ont maintenant plus de peine à venir s'intégrer en Suisse, par rapport aux étrangers de l'Union Européenne. Les exigences de permis B de séjour sont plus difficiles à les maintenir pour ces gens, à savoir des règles bien établies pour l'accomplissement "d'être accepté" dans l'intégration.
Le premier lieu c'est l'obligation d'apprendre le français pour les habitants de la Suisse francophone, l'allemand pour la partie Suisse-allemande ou l'italien pour les habitants tessinois. Ensuite pour prouver leur intégration il faut qu'ils réussissent un teste FIDE sur la langue apprise, avoir travaillé suffisamment dans un cota acceptable, pas de social, ni de longue durée de chômage et pas de casier judiciaire importante ou qui est fait de la prison. Ceux qui sont mariés avec une personne suissesse sont protégés par la convention de regroupement familiale contre le renvoie, mais les tests sont obligatoires pour après plus tard percevoir le permis d'établissement. Dans certaines mesures de percevoir ceux-là on peut dire que "c'est normal pour limiter l'eldorado trop facile en Suisse." Mais, y a un problème cela percute dans le monde professionnel. Les étrangers de l'Union Européenne ont plus de facilité dans les démarches administratives et plus souples dans les règles de lois sur les étrangers, sans qu'ils puissent en abuser car y a quand même un minimum de règles importantes pour rester en Suisse.
Le problème discriminatoire où je veux vraiment en parler est dans le monde professionnel, comme par exemple ; ceux qui sont hors UE sont refusés.
Que tu compares une personne parlant d'une langue portugaise et de nationalité portugaise et d'une personne s'exprimant aussi en portugais mais d'origine brésilienne ou capverdienne ne sont pas égaux juste parce qu'elles sont de nationalité hors européenne. Mais, une brésilienne ou capverdienne ayant acquis la nationalité portugaise deviennent pour le monde professionnel des européennes, ici en Suisse. C'est très triste, mais c'est une réalité qui gangrène depuis quelques années plus en plus importante et en mode sous-marin. Je vais vous ressortir 2 exemples repris dans les recherches d'emplois, ces exemples sont légion si vous faites vos propres recherches. (Voir ce qui est entouré en rouge jugé comme information exemplaire).
Voilà la grande discrimination existante en Suisse dans le monde du travail. A cause de quoi ? Pourquoi nous nous sommes arrivés au point d'être sélectionneur négatif envers les personnes de nationalité hors européennes ? Dites-en moi un peu plus dans les commentaires...
Car, dans le premier exemple de l'hôtel de 5 étoiles c'est une blague, en réalité il n'y a pas de différence d'un étranger en permis B de l'espace Schengen et de permis B de regroupement familiale hors espace Schengen. Ils ont les mêmes règles, bien que ceux qui sont hors UE auront des contrôles plus stricts et plus sévère dans les décisions d'immigration. Ainsi, de le deuxième exemple c'est du pur racisme envers les étrangers hors de l'UE.
Ce n'est pas tout, maintenant même pour des tâches de travailles qui ne demandent pas de grandes études les employeurs n'engagent plus les personnes qui parlent peu le français. Un étranger voulant travailler dans un domaine qu'ils pourraient s'intégrer rapidement tout en faisant des cours à côté pour apprendre le français c'est de plus en plus rare, seuls les quelques étrangers peuvent avoir ce privilège. Alors, cela engendre des problèmes de finances, des problèmes de vie de toute sorte chez les étrangers nouveaux, (aujourd'hui en Suisse). Je ne parle pas de ceux qui peuvent arriver en Suisse par une demande d'engagement d'un patron en Suisse, et qui ce dernier faisant les démarches administratives pour engager. Je m'adresse vraiment à ceux qui s'aventure en Suisse sans connaissance de la langue ;
- Sachez que vous ne trouverez plus aussi facilement un travail, si vous souhaitez vous en sortir ayez déjà une bonne économie le temps que vous appreniez la langue dans les formations, (dispatchées un peu partout dans le pays). Il n'y aura aucune aide sociale pour vous, et si vous venez en tant que regroupement famille ayez à l'esprit que la famille ait suffisamment d'argent pour vous. Le social peut aider dans le regroupement familial, mais sachez que c'est une dette que vous accumulez dans ce cas. Car, on doit rembourser sur 10 ans maximum de social, au moment de trouver du travail.
Et, puis cela concerne aussi pour les citoyens suisses vous serez au même titre jugé si vous n'avez pas de diplôme, de qualification ou d'expériences reconnus dans votre pays. Vous serez rejeté dans la société professionnelle tant que vous n'avez pas entrepris une étude ou une formation avant. Sans expérience et vous prendre pour vous apprendre comme vous faites dans votre pays c'est très difficile de trouver un employeur comme ça et vous serez sans cesse dans du travail précaire, à la chaîne répétitif ou sans travail.
Et, si vous êtes hors de l'Union Européenne vous trouverez très difficilement un travail, plus difficile qu'une étrangère européenne. Et, on essaiera même de profiter de vous en essayant de vous sous payer, de vous faire travailler comme une esclave.
Et, pour finir attendez vous qu'on vous refuse sans cesse en vous disant qu'ils n'ont pas retenu votre candidature ou qu'ils ont trouvé mieux à une autre candidature, et que vous voyez quelques jours plus tard ces mêmes entreprises continuer à postuler leur annonce de recherche de candidat.
En effet, après expérience de ma femme et en voyant le nombre de personnes étrangers aussi hors UE qui recherchent le même poste de travail, les entreprises les ignores tous et continuent à rechercher une nouvelle candidature. Ce qu'elles veulent c'est des qualifiés suisses en premier et sinon un étranger de l'UE qualifié ou avec expérience en deuxième position dans la plupart des cas. C'est déjà parfois le cas où même les suisses ne sont pas engagés par manque d'expérience, les entreprises n'aiment pas engager du personnel pour les apprendre pour ne pas perdre du temps et de l'argent. Si ce n'est pas dans un cadre de contrat pour apprentissage elles sont fermées à d'autres façon de faire.
Et le deuxième effet constaté, après expérience de ma femme et des témoignages ; les étrangers apprenant la langue voulant trouver un travail stable avec contrat sont très souvent pris dans des endroits où on leur propose d'être sous payé et sans contrat, sans protection et par-dessus tout non déclaré. Alors ce dernier, ce n'est pas si grave si la personne qui travail déclare aux impôts, mais cette personne ne fera aucune économie et de cotisation AVS et autres. Ni de possibilité d'avoir ces droits en cas de maladie ou de vouloir prendre des vacances. Ces personnes qui ne trouvent pas de travail stable et avec contrat et qui font des petits travailles chez les particuliers, comme dans le ménage ou baby-sitting, seront les plus touchés dans leur suite par rapport à la précarité dans la vie financière. Et, hélas en Suisse nous trouvons beaucoup d'exploitation envers les étrangers qui n'ont pas de choix que d'essayer de gagner de l'argent pour s'en sortir. Quand une personne a besoin de baby-sitter ou d'une femme de ménage il faut qu'elles respectent la dignité humaine de l'employé, mais la conscience de ces gens pour beaucoup n'engendre guère d'inquiétude.
Dans les statistiques se sont en premier les riches et les étrangers qui paient mal les employées de maison, même au franc près incapable d'arrondir au-dessus. Personnellement c'est une honte de leur part...
Si toi aussi qui me lit ; que tu sais que tu as déjà payé une personne pour s'occuper de ton enfant ou de ton appartement à faire le ménage, et que tu lui as donné un petit argent poche bien sous payer aux vrais salaires par rapport à un engagement d'un employé mandaté par une entreprise, (ne parlant pas d'un proche ou de la famille qui te rend service) ; tu fais alors parti de ces gens qui ont traités et conçus des esclaves. Tu n'es pas différent de ces gens au temps d'Apatride, où y avait des familles qui engageaient des esclaves travaillant gratuitement et difficilement pour presque pas un rond, (qui a la plupart étaient simplement juste nourri et logé gratuitement). Je ne te juge pas, je te lance une critique constructive qui pourrait te permettre de réfléchir et de changer de manière d'être si tu es dans ce cas. Car, profiter des êtres humains par leur nature sociale c'est te croire au-dessus de lui et de te permettre de le mépriser au profit de ton intérêt.
L'autre constat qui rejoint à ne pas engager une personne sans expérience c'est qu'il y a beaucoup de pénuries de personnels dans certains secteurs où les étrangers, (parlant même peu la langue et en étude d'apprentissage de la langue) pourraient combler les trous, et que ces entreprises en pénuries de personnels ne les engagent même pas. Ou, les engages en proposant d'un salaire très bas et sans contrat à l'heure. Ce qui veut dire que l'étranger acceptant à cause de sa situation difficile vivras sans possibilité d'économiser pour ses projets, sans possibilité de se projeter en avant à toujours vivre jour en jour et sans sécurité sociale par rapports les temps de congés non payés ou quand l'entreprise a ses temps fermés. Et, cela est légal pour ces employés sans contrat pris par engagement à l'appel. Sans contrat ne veut pas dire non déclaré c'est bien entendu déclaré comme un contrat, mais le salaire à l'heure ne compte pas le prix de vacances dans l'heure, (qui se compte 8% / prix de l'heure). L'employeur ne paie pas non plus l'assurance accident et n'a pas de charges importantes pour l'employé sur les responsabilités. Cela va pour une personne qui fait un deuxième travail sous appel, ayant déjà une sécurité à côté, voulant avoir un revenu complémentaire. Mais, pas pour une personne qui est sans emploi, et ma femme étrangère hors UE a déjà été approchée par un employeur qui voulaient l'engager à l'heure sans contrat et mal payé.
Alors oui, il y a pénurie et en même temps ces entreprises sont hypocrites pour beaucoup. Il y a beaucoup de gens en social, beaucoup de gens sans emploi. Et, surtout beaucoup de gens sont prêt à vouloir s'en sortir, et qu'ils souhaitent qu'on leur donne leur chance de débuter et apprendre. Ces entreprises qui se plaignent sont tellement hypocrites qu'elles essaient même de recruter à l'étranger des personnes qualifiés, dont elles ne se rendent pas compte qu'en même temps ils vident les bons qualifiés de ces pays qui en ont aussi besoin.
Il existe des associations qui sont actif pour donner des cours aux étrangers qui n'ont pas de diplôme reconnu en Suisse, et qui sont actif à donner les chances de pouvoir permettre à l'étranger d'acquérir un futur CFC/AFP. Je salue cette initiative qui est un point positif et organisé, mais ce n'est largement pas suffisent. Un étranger extra européen est un être humain au même titre qu'un citoyen non étranger ou d'un étranger européen, c'est bien quelque chose qui a été oublié dans les mesures et dans les restrictions des entreprises, (selon les exemples qui n'acceptent pas les étrangers hors UE).
Je salue également les entreprises qui font des efforts en embauchant différemment, acceptant sans distinction de leur identité aux demandeurs d'emplois.