On accuse Dieu pour tout.

Article écrit en avril 2022.

On accuse Dieu pour tout.

Après un drame, un accident ou tout autres qu'on estime une injustice dans notre vie ; on a tendance à accuser Dieu comme responsable des massacres et des problèmes injustes qu'on subit.
On dit souvent la question ; mais, si Dieu est parfait et aime tout être, pourquoi Il laisserait autant de guerres et d'injustice ? Pourquoi Il n'était pas là, quand j'avais besoin de lui pour sauver la personne ?

Il y a bien des manières qu'on peut penser de Dieu. Et, à force lui accusant comme responsable ou qui ne fait rien, on a tendance à vouloir lui remplacer.

Laissez-moi raconter une histoire, une histoire qui peut s'identifier à beaucoup de monde qui se poseraient ces questions. C'est une histoire retiré d'un film "le chemin du pardon," que je vous recommande de le voir !

Voici l'histoire :

Le papa qui parle
Dieu le Père qui parle
Le Fils Jésus qui parle
Le Saint Esprit qui parle
Les 3 le Père, le Fils et l'Esprit qui parlent en même temps
La Sagesse qui parle

Y a un père qui fait du camping au bord d'un lac, avec ses enfants. La mère était occupée dans un autre endroit, pour son travail. Le père s'est occupé d'un problème survenu et avait laissé sa fille seule quelques minutes, où elle était tranquille à jouer et à dessiner assis au près d'une table.
Quand le père a fini de régler le problème, il revient vers là où il a laissé sa fille et il ne le retrouve pas. Il cherche partout et il ne le trouve pas. Il commence à paniquer et il fait appel à la police.
La police débarque avec les chiens pour rechercher la fille disparue. Après quelques heures passées, cela aboutit à un échec et ainsi ils informent au père "qu'il y a un homme recherché depuis quelques années qui a déjà volé plusieurs enfants".
Le père panique et voit de très mauvais oeil de ce qu'il se passe.
Un peu plus tard, la police après des multiples barrages routier et de recherches dans la forêt ; ils ont pu enfin retrouver l'homme qui a volé la fille et la fille morte.
Le père effondré et cette demande ; "pourquoi cela est arrivé ? Pourquoi moi ? Je n'ai rien fait et ma fille innocente elle ne méritait pas de mourir ainsi."
Ainsi, vint la colère et la haine du père contre l'homme qui lui a volé et tué sa fille. Et, soudainement de sa nature il a commencé à accuser Dieu, en imaginant dans son coeur que "Dieu est responsable et qu'Il n'était pas là pour sa fille," pense-t-il.

Il décide de prendre la voiture et s'enfuir à rouler loin qu'il a envie, ainsi il ne fait pas attention à la priorité et se fait ramasser par un camion. Lui et sa voiture face à un gros poids lourd de plusieurs tonnes et tomba dans le coma.
Pendant son coma, il rencontre Dieu dans un lieu magnifique et proche de la nature, telle à l'image que le père de la fille défunte aime vivre ou souhaite vivre.
Il le rencontre en 3 manières différentes à l'image de la trinité.
Dieu se présenta devant lui comme une mère, car ce papa avait besoin d'une écoute d'une mère qu'il n'avait jamais pu avoir à son enfance.
Dieu le Père se présente et dit ; je m'appelle Anna et je connais votre fille.
Le père de la fille défunte se pose la question et demande ; tu es Dieu ?
Dieu répond ; Je suis.
Le père réplique et dit ; vous êtes celui qui est ?
A peine la question, que Dieu coupe la parole et répond à nouveau avec confirmation ; Je suis celui-là.
Dieu ne lui donne pas la réponse directe, pour que le père puisse confirmer de ce qu'il ressent et de ce qu'il voit, (et en même temps Dieu lit dans ses pensées).
Puis, Dieu présente son Fils bien aimé, (Jésus) qui est une image d'un homme simple au cheveux court et souriant. Selon comment Dieu connaît le père, Il lui fait voir d'un Jésus comme un air d'un ami où le père ressent directement de la confiance. Dieu savait quelle image de Jésus que le père avait besoin de ressentir une confiance, l'hors de la présentation. Comme Dieu connaît tout au plus profond de chacun d'entre nous.
Ainsi, le Saint Esprit en forme d'humaine asiatique s'approche et se présente d'un prénom qui veut dire "souffle de vent." Une femme asiatique plus précisément, où Dieu savait qu'il avait besoin d'une relation aussi avec une asiatique qu'il n'en voit jamais.
Le père demande ; Qui est réellement le Dieu ?
Les 3 personnes qui se sont présentées répondent en même temps ; c'est moi !

Le père de la fille défunte verse une larme et n'en revient pas de ce qui lui arrive. Très ému et très triste en même temps. Le Saint Esprit s'en approche et lui prend une larme avec ses doigts et dit ; "nous recueillons tout ce qui est précieux, ce n'est pas vrai ? Je recueil les larmes."
Peu après, le père s'en alla en demandant qu'il revient dans quelques minutes et sort de la maison, pour se retrouver seul un moment. Et ce dit en lui ; "pourquoi je suis revenu à moi ?"
Car, il souffrait tellement de la mort de sa fille qu'il ne voulait pas revivre, il était donc conscient qu'il s'est fait renverser par un grand camion. Il se rappel de cette histoire qui lui a permis d'arriver à cet endroit magnifique telle qu'il imagine de vouloir vivre. Ainsi, s'approche d'un lac avec un paysage époustouflant et tente le geste de vouloir sauter dans l'eau et vouloir se laisser se noyer. Aussi peu de temps qu'il tente le geste, le Fils Jésus arrive à l'instant et lui dit ; "tu as perdu ça." Il montre une lettre et lui donna au père.
Le père lit et se rappel de cette lettre qu'il avait écrit comme suite ; "Dieu je souhaite te rencontrer et t'inviter dans mon esprit, afin de recevoir en toi ce que tu peux me donner. Et, répondre à mes questions..."
Le père se pose la question et demande à Jésus ; "qu'est-ce que je fais ici ? Qu'est-ce que je dois faire ?"
Jésus répond ; "tu n'es pas sensé de faire quoi que ce soit. Tu es libre de faire ce que tu veux. Comme aller pêcher, te promener, aider le Saint Esprit à faire le jardin, aller parler avec Papa, (Dieu le Père) qui en train de faire à manger à la cuisine, à toi de choisir..."
Il lui a ainsi élaboré une liste de ce que le père aimait imaginer faire comme temps d'occupation. Il lui donne ainsi aussi une assurance de paix par le même temps et lui dit ; "je serai à l'atelier menuiser, si tu as envies tu peux venir me voir."
Puis, Jésus s'en alla tranquillement. Et, le père choisi d'aller vers la mère qui cuisine, (image de Dieu le Père).
Après être rendu à la cuisine, la mère lui dit ; "tu te souviens de ce parfum que ta mère portait ? Tu sais qu'elle t'aime plus que tu puisses l'imaginer ?"
Le père réplique à l'instant et demande ; "je suis mort, c'est ça ?"
Dieu répond avec un sourire au coin des lèvres ; "tu te sens mort ?"
Le père reste pensif et se met à l'idée qu'il sent son corps et qu'il n'est pas mort. Et demande ; "tu savais que j'allais venir, non ?"
La mère répond ; "bien sûr."
Le père réplique de la réponse de la mère ; "j'aurai pu refuser."
La mère répond après cela, tout en faisant la cuisine ; "je ne retiens personne prisonnier, tu es libre de partir quand tu voudras."
Le père demande avec soupire ; "pourquoi tu m'as ramené ici ?"
La mère lui répond ; "parce que c'est ici que ton coeur a échoué. Je sais qu'il y a un grand gouffre qui nous sépare et il faut que tu saches que j'ai beaucoup d'affection pour toi au-delà que tu peux le croire. Je voudrai soigner cette blessure qui grandit en toi et entres nous. Il n'y a pas de remède à trouver à ta douleur. Pas de solution miracle qu'il puisse durer. La vie est un peu de temps et beaucoup d'amour."
Le père reste pensif et demande avec un peu de colère en lui ; "tu es Dieu tout puissant, c'est ça ? Alors, tu sais absolument tout. Tu peux être partout en même temps. Tu as un pouvoir illimité. Mais, pourtant tu as laissé mourir ma fille. Quand elle avait besoin de toi, tu l'as abandonné."
La mère lui répond ; "je ne l'ai jamais quitté."
Le père réplique avec amertume ; "si tu es vraiment celui qu'on te dicte de ce que tu es, au moment où j'ai eu besoin de toi, tu étais où ?"
La mère lui répond avec douceur et lui dit ; "mon fils, quand ta douleur est tout ce que tu voies c'est aussi moi que tu as perdu de vue."
Le père lui demande avec encore de l'amertume en lui ; "arrête de faire des mystères. Quand ton seul but est de m'aider, alors que tu n'as pas pu aider elle ?! C'est bien à cause de toi qu'elle est morte ! A moins que tu puisses changer ça ? Tu ne pourras jamais me libérer temps que tu ne l'as pas sauvée !"
La mère répond ; "la vérité libère tout le monde. Et, la vérité à un nom. Il travaille actuellement dans son atelier, couvert de sciure de bois."
Le père répond ; "la vérité ? Je connais cette histoire. Lui aussi tu l'as abandonné ! Apparemment tu as l'habitude d'abandonner tout ce que tu prêtant à aimer."
La mère répond ; "je ne suis pas celui que tu crois de ce que je suis."
Le père répond ; "Il le dit lui-même à la croix, mon Dieu mon Dieu pourquoi m'as tu abandonné ?"
La mère répond ; "non, tu as mal compris le mystère."
Et, la mère lui prend sa main et lui montre sa main et son poignet aussi ayant la marque des clous de la crucifixion et lui dit ; "ne crois pas de ce que mon Fils a choisi de faire. Il ne nous a pas coûté à tous les deux. L'amour laisse toujours des marques. Nous étions tous les deux. Je ne vous ai pas abandonné toi et ta fille."
Le père se retire ému des réponses de la mère qui était en larme sur les réponses qui lui disait. Et, sorti dehors.
La mère, vint peu après vers le père qui s'est assis devant la maison et où il regardait un oiseau perché sur une branche. Et, la mère réplique ; "il est splendide, non ? Créé pour voler. A la différence de toi, que j'ai créé pour être aimé. Vivre sans amour, c'est comme couper les ailes d'un oiseau. C'est l'effet de la douleur qu'on a sur nous. Si on ne la soigne pas, on peut oublier à quoi de ce qu'on a été créé. Ce n'est pas ce que je veux pour toi. Tu es là dans ce lieu pour ça, on va t'apprendre à voler."
Peu après avoir dit ces mots, elle lui invita à table et manger ensemble avec Jésus et le Saint Esprit. Le père se dit et demanda à table aux trois ; "si vous êtes bien ce que vous dites, vous devez savoir même avant tout ce que j'allais dire de ma bouche."
Les 3 répondent en même temps à chacun un bout de phrase ; "oui, mais nous préférons entendre tout ce que tu as à dire. Comme si c'était la première fois. Nous souhaitons t'entendre parler de tes enfants tels que tu les voies."
Un soupire du père, qui a la peine à comprendre, mais qu'il comprend en tout cas l'amour de laisser libre choix.
Jésus peu après, à la fin d'avoir fini de manger proposa au père de l'accompagner à son atelier.
Le père est d'accord et le suit. Ils sont dehors et tous deux regardent le ciel. Jésus lui dit, sachant à l'avance ce qui allait se passer dans le ciel ; "regarde celui-là."
Et, le père voit une étoile filante passer à peine deux secondes devant ses yeux.
Le père se confie à Jésus et lui dit ; "je sais que vous trois vous êtes étroitement lié, mais je me sens plus à l'aise quand je suis avec toi".
Jésus lui répond ; "parce que c'est le fait que je suis humain."
Le père réplique ; "mais parce que tu es Dieu aussi."
Jésus répond ; "je suis probablement l'humain qui te permet de t'approcher du Dieu le Père et le Saint Esprit. Me voir moi, c'est aussi leur voir."
Le père lui dit d'un ressenti ; "vous êtes tous les 3 différents. Je n'imaginais pas Dieu le Père comment Il se présente et encore moins le Saint Esprit.
Jésus souris et lui dit ; "Elle (la fille asiatique) est créativité, action, elle est le souffle de la vie. Elle est mon Esprit. On ne peut vivre dans l'amour qu'au sein d'une relation. C'est tout ce que nous attendons de toi. Même si tu ne le voie pas. Tu es au centre de notre amour et de notre but. Toute la beauté que tu voies autour de toi des paysages n'est pour ainsi dire rien comparé à ce qu'on voit en toi."
Le père soupire et regarde le ciel en disant ; "la dernière fois que j'ai regardé les étoiles comme ça, ma fille était à côté de moi."
Jésus lui répond ; "je sais."
Peu après, ils rentrèrent à la maison et le père alla dans sa chambre. Puis, il prit une bible qui retrouva en ouvrant un tiroir. Il commença à le lire et s'endormit. Il vint à commencer à rêver. Il rêve qu'il vole au-dessus des montagnes et de forêts de sapins à perdu de vue. Il entendit une voix soudaine de sa propre fille appeler "papa !" Et, soudainement il rêve qu'il tombe du ciel et atterri sur le chemin où le tueur est passé prendre sa fille. Il voit sa fille crier "papa !" à plusieurs reprise, transporté sur les épaules du tueur, (qui s'enfuit avec sa fille).
Puis, aussi tôt il se réveilla avec crainte et colère dans ces yeux. Il sorti de son lit et sortit de la maison. Il voit soudainement la mère préparer le petit déjeuner sur la terrasse.
Elle lui demanda s'il a bien dormi et lui dit ; "tu sais, les rêves sont importants. Ils peuvent être d'une façon d'ouvrir une fenêtre. De renouveler l'air frais."
Elle lui dit cela, car elle sait ce qu'il a rêvé. Et, le père lui demande ; "est-ce que tu as quelqu'un que tu n'as pas beaucoup d'affection ?"
La mère répond ; "non. Je n'ai pu trouver qui que ce soit. Il faut croire que je suis comme ça."
Le père réplique ; "tu t'en portes donc jamais ?"
La mère lui répond ; "bien sûr que oui. Comme tous les parents."
Le père répond ; "c'est là où y a ta fameuse colère qui se manifeste. Ta fureur. Tout le monde le sait, tu as ta manière de punir les brebis qui ne rentrent pas dans les rangs."
La mère soupire et dit ; "non. Je n'ai jamais à punir une brebis. Le péché est un châtiment en soi. Il le fait de lui-même. Même s'il est difficile pour toi de l'accepte, je suis plutôt au centre de tout ce que tu perçois étant comme je suis le bazar pour le bien de tous. C'est mon rôle."
Le père lui répond ; "c'est dingue que tu me dises ça. Avec toute la souffrance qu'il y a dans le monde. Quel bonheur peut-il avoir pour voir enlever une petite fille par une espèce de monstre ! Ce n'est peut-être pas toi qui provoques ces horreurs. Ce qui est claire, c'est que tu ne les en empêches pas."
La mère répond ; "tu essaie de trouver un sens à l'univers partant d'une image très incomplète du monde. Tu regardes le monde par le trou de serrure de ta peine. Y a une faille aveugle dans ta vie. Tu refuses à croire que je suis la bonté. Erreur, si tu savais ce que je suis et de tout l'amour que j'ai pour toi. Dans tes moments incertitudes, tu sois en sûr que j'œuvre que pour ton bien en toute chose. Et, alors tu aurais confiance en moi."
Le père réplique avec froideur ; "Confiance en toi ? Pourquoi j'aurai confiance en toi ?! Ma fille est morte ! Et, rien de ce que tu diras ne justifiera jamais ce qu'elle a pu en durer !"
Et, aussi tôt le père donna un coup de poing sur la table d'un énervement profonde en lui. Puis, s'en alla de la table en lançant les services de table sur son assiette.
Il partit dans un chemin dans les bois et cherche le chemin de sortie.
Le Saint Esprit apparaît et lui demande ; "tu cherches le chemin du retour ? Si c'est ta voiture que tu recherches, il est plus haut dans ce chemin là derrière les arbres. Juste une précision avant partir, on n'est pas là à se justifier quoi que ce soit. On voudrait que tu guérisses, avec notre aide. Mais, avant que tu t'en aille, j'ai quelque chose à faire dans le jardin. Peut-être que tu peux m'aider en vue de la fête de demain soir ?"
Le père curieux et demanda ; "quelle fête ?"
Le Saint Esprit présenté en femme asiatique répond ; "si tu veux le savoir, tu devras rester."
Après cet échange, ils s'en allèrent tous les deux sur un chemin étroit dans la forêt. Et, le père émerveillé de la beauté des fleurs et du paysage autour de lui d'un immense jardin. C'est un peu comme un jardin avec des hauteurs de plante et de fleurs plus haut que lui. Ainsi, elle la femme asiatique lui passe des outils pour travailler à débroussailler le jardin, afin de faire des plantations importantes selon elle.
Peu après ils ont fait un trou. Le père voit une branche de racine à arracher et essaya de l'arracher. La femme asiatique lui dit ; "attention, celle-ci peut te tuer."
Le père demande ; "si elle est vénéneuse, pourquoi il est là ?" (Pensant que dans ce lieu magique en présence de Dieu il ne devrait avoir rien de cela).
La femme asiatique lui demande ; "tu penses que le poison devrait être banni ?"
Le père répond ; "Oui." (Avec un air de logique dans ses pensées).
La femme asiatique lui répond avec une petite étude ; "cette branche remplie d'épine t'aurait enlevé la vie. Mais combiné de cette fleure que je tiens dans ma main, elles se changent d'un antidote incroyable d'anti poison."
Encore, la femme asiatique réplique à nouveau d'un autre sujet, pendant qu'ils continuent à travailler dans le jardinage ; "une question. Quelle confiance estimes-tu ta capacité de discerner le bien et du mal ?"
Le père répond ; "un sentiment d'évidence."
La femme asiatique demande alors ; "sur quelle base t'estime ou pas que quelque chose est bon ?"
Le père répond ; "C'est bon, si cela peut m'aider. Ou, les proches, des gens que j'aime."
La femme asiatique demande à nouveau ; "et, ce qui te fait du mal ?"
Le père répond tout simplement ce qui lui fait du mal et envers à un proche.
Alors, la femme asiatique lui demande ; "donc, c'est toi qui es le juge ?"
Et, le père répond que ; "oui il faut croire." (Avec un air d'envie de changer de sujet, se sentant embarrassé).
La femme asiatique repense et lui demande ; "tu n'as jamais fait erreur ? Ou, revu ton opinion avec le temps ?"
Le père répond avec une pensée ; "oui."
La femme asiatique lui répond ; "les hommes comme toi sont légion, chaque personne détermine selon elle de ce qui est juste ou injuste. Quant à ta conception du bien se heurte à ton voisin qui fait du mal, cela crée des disputes. De grands pays se font la guerre. Parce que tous pensent pouvoir prendre la place de Dieu. Vous n'avez pas été créé pour ça. Etre seul isolé, la vie devrait être une conversation entre amis et entres frères." (Elle le dit avec tant d'espérance pour lui).
Et, ainsi ils finissent le jardin et le père dit ; "c'est toujours la pagaille." (D'un air toujours encore perdu).
La femme asiatique lui réplique ; "la pagaille c'est toi."
Puis, le père tourna la tête regardant ailleurs et le Saint Esprit disparaît lui laissant seul dans le jardin.

En voici une image de cet homme, au beau milieu du jardin avec le trou qu'ils ont fait :

Après, que les paroles dites du Saint Esprit, la femme asiatique, il s'en alla du jardin, et sorti voir Jésus qui travaillait dans son atelier de menuiser. Et, Jésus lui aperçoit et lui demande ; "alors... Tu as décidé de rester ?"
Le père répond ; "je réfléchi."
Jésus lui dit avec un sourire, (en remplaçant le mot femme asiatique au prénom donné d'elle) ; "femme asiatique peut-être persuasive, ein..."
Le père réplique ; "je voudrai être assez malin pour comprendre un seul mot de ce qu'elle dit."
Jésus rigole et lui demande ; "si tu veux marcher un peu, y a quelque chose que je voudrai que tu y voies de l'autre côté du lac, si tu veux venir avec moi ? Je dois ranger mon atelier, je te retrouve sur la rive. Si tu veux tu peux prendre ma barque, y a ma canne à pêche dedans. C'est peut-être ton jour de chance."
Et, le père pris la barque seul et rama, sans attendre Jésus. Afin, d'aller de l'autre côté du lac, comme Jésus lui a préconisé d'aller voir. Puis aux beaux milieux du lac, il se reposa et pensa à nouveau profond de lui-même. Il entendit une voix de sa fille à nouveau, comme dans son rêve quand il a dormi. "Papa !" Et, cela à plusieurs reprises et ainsi le père cherche partout d'où cela vient cet appel de sa fille. Soudainement la barque commença à recevoir des coups, comme s'il y avait un gros poisson qui lui fonçait dessus. Il se pencha vers l'eau pour aller voir ce que sait, avec toute une frayeur en lui. Et, il voit soudainement sa fille dans l'eau toute apeurée. Le père mi sa main dans l'eau pour espérer de récupérer sa fille qu'il voit en image et ressort sa main remplie de noirceur qui englobe sa main, comme une mare de pétrole noyé dans l'eau. Peu à peu cette mare s'agrandit sous sa barque et soudainement le bateau commença à se briser, faisant des trous. Et, le bateau prend l'eau. Il panique de peur de couler et ne comprend de ce qui lui arrive.
Jésus apparaît les pieds sur l'eau et lui dit ; "pas de panique ! Je suis là, regarde moi."
Le père tout paniqué dit ; "mais qu'est-ce que je t'ai fait ?"
Jésus répond ; "je ne suis pour rien."
Le père lui dit ; "c'est toi qui me fais traverser."
Jésus lui dit ; "c'est en toi que cela arrive. Respire profondément et écoute la leçon de ma voix. Ne regarde pas vers le bas ! Mais, vers moi !"
Le père encore paniqué et encore regarde vers le bas, où l'eau passe par les trous. Et voit des images d'enterrement de sa fille. Et, Jésus réplique à nouveau ; "ne pense pas à ta douleur, regarde moi ! Ne pense pas au passé, regarde moi !"
Le père commence à lui regarder et commence à se calmer.
Jésus réplique à nouveau ; "tu n'as pas à t'inquiéter, regarde moi ! Ais confiance, il ne peut rien t'arriver. Reste calme, regarde moi ! Respire, je suis là avec toi."
A l'instant où le père commençait à prendre confiance, toute la noirceur dans l'eau disparaît et la barque devient intacte, sans trou. Toute l'apaisement revient. Et, Jésus s'en approcha en marchant sur l'eau et lui demande de venir avec lui. Le père tout étonné il n'y croit, qu'il ne pourra pas marcher sur l'eau comme Jésus. Jésus lui répond qu'Il ne plaisante pas et qu'Il insiste. Il lui dit ; "tu peux faire comme moi." (En lui tenant la main pour l'inviter à sortir de la barque).
Le père toujours en doute il dit ; "je vais couler."
Jésus répond à nouveau ; "non. Tu te représentes un avenir sans moi. Cet avenir n'existe pas. Je t'ai promis de ne jamais t'abandonner. Je suis là. Aller, vient avec moi."
Et, le père pour finir cède et accorde à Jésus de marcher avec lui sur l'eau. Le père commença à mettre le premier pied et en suite le deuxième et avec une peur d'équilibre, de sensation forte et se sentant aussi bizarre de pouvoir marcher sur l'eau, il s'accroche alors dans les bras de Jésus à premier temps. Et, Jésus l'accompagne avec apaisement et assurance des premiers pas sur l'eau du père.
Pendant leur marche, Jésus lui montre les poissons sous l'eau. Il lui fait montrer le gros poisson qui passe, parmi pleins de petits bébés poissons. Et, Jésus dit ; "il doit faire au moins 60 cm, cela fait des semaines que j'essaie de le pêcher."
Le père demande alors avec étonnement ; "pourquoi alors tu n'essaies pas de lui faire mordre au crochet ?" (Pensant que Jésus n'a pas besoin d'attendre, qu'Il a le pouvoir de décider que le poisson soit pris au piège rapidement).
Jésus, rigole et lui dit ; "Ce ne serait pas très drôle." (En lui faisant comprendre qu'il n'y a pas de suspense et aussi imaginer qu'Il laisse libre choix de toute créature).
Et, tout deux finissent de traverser à pied le lac, arrivant de l'autre côté comme prévu.
Le père dit à Jésus ; "tu sais, tu ne ressembles pas beaucoup à tous ces religieux qui m'ont enseigné."
Jésus répond ; "la religion demande beaucoup de travail. Ce n'est pas ce que je demande, je veux des amis. Une famille, des choses à partager."
Le père lui demande alors ; "pourquoi ne pas suivre les préceptes, comme travailler et être un bon chrétien ?"
Jésus lui répond ; "si tu réfléchis bien, je ne suis pas ce qu'on peut appeler un chrétien. Pas vrai ?"
Le père réfléchi et dit ; "non, tu as raison"
Jésus lui dit aussi tôt ; "ce n'est pas ça l'important. Je rêve l'humanité changer en amour de Papa." (Faisant référence à Dieu le Père). "Qu'ils se sentent vraiment aimé enfin."
Le père réplique ; "je crois que je n'ai jamais ressenti ça."
Jésus lui dit avec un sourire ; "tu veux que je te montre ? Tu n'as qu'à te rechaussé" (Car le père avait enlevé ses chaussures pour avoir marché sur l'eau).
Puis, tous deux s'en va dans la forêt. Au bout d'un moment, Jésus s'arrête et lui dit ; "continue sur ce sentier et continue de marcher tout droit. Je ne peux pas venir avec toi. Toi seul tu peux passer sur ce sentier."
Le père réplique ; "tu m'as dit que tu ne m'abandonneras pas."
Jésus répond ; "je n'ai pas l'intention, ais confiance, n'oublie pas ce qu'on t'a enseigné. Quand tu reviendras, tu me retrouveras ici."
Le père de manière inquiet prend la décision de prendre confiance et marcher sur ce sentier seul. Pendant sa marche il perçoit un mur et se retrouve dans un cul sac, par expression. Sans pouvoir aller plus loin. Il prend confiance et se dit de continuer de marcher, se rappelant ce que Jésus a dit. Et penche son bras devant et traverse sa main à travers le mur, comme si le mur était une illusion. Ainsi, il passa de l'autre côté du mur. Tout est sombre et se demande si y a quelqu'un...
Il continue de marcher et perçoit une femme assise sur un trône. Et, le père s'en excuse de s'inviter lui-même. Et, demande ; "vous êtes ?"
La femme assise sur le trône lui répond ; "la Sagesse. Est-ce que tu comprends pourquoi tu es là ?"
Le père répond négativement, qu'il ne sait pas.
La Sagesse lui dit ; "ce sera une journée très importante, il y aura des grandes conséquences. Tu es là pour ton jugement."
Le père tout étonné et dit ; "mon jugement ? On m'a dit que je n'étais pas mort."
La Sagesse lui répond ; "c'est vrai. Tu ne crois pas que Dieu est bon ?"
Le père répond avec questionnement ; "ma fille est son enfant ? "
La Sagesse lui répond ; "bien-sûr."
Le père répond ; "alors non, je ne crois pas que Dieu est bon avec tous ses enfants." (Ayant donc du favoritisme).
La Sagesse lui dit ; "si c'est ce que tu crois, alors vient et assied toi." (Elle se leva de son trône et lui indiqua de s'asseoir à sa place).
Le père refuse et lui dit ; "tu n'as qu'à me juger depuis là-bas." (Depuis sur le trône).
La Sagesse lui réplique ; "te juger ? Tu as des aveux à faire ?"
Le père lui dit alors ; "tu sais ce que j'ai fait."
Et, la Sagesse lui répond ; "oui. Mais, ce n'est pas toi qui es jugé. Aujourd'hui c'est toi le juge."
Le père tout surprise et demande ; "quoi ?"
La Sagesse lui dit ; "pourquoi tu es surpris ? Tu as passé toute ta vie à juger tout le monde. Leurs actions, leurs motivations, comme si elles étaient connues. Tu juges les gens à leur couleur de leur peau. Leur vêtement. Leur façon de parler. Pour ce qui est de juger, on peut dire que tu es un expert chevronné. Viens t'asseoir !"
Le père accepte et s'assoit sur le trône et demanda ; "je suis sensé de juger qui ?"
La Sagesse répond ; "tu as bien quelques jugements à faire à des personnes de ce monde. Commençons par les égoïstes. Les personnes cupides, celle qui font du mal aux autres. Les meurtriers, les vendeurs de drogues. Les terroristes. A condamner ?"
Le père répond ; "oui."
La Sagesse continue et demande ; "de même de ceux des hommes qui battent leur femme ou des pères qui battent leurs propres enfants pour abréger leurs souffrances ?"
Le père commença à voir des images de son passé de son propre père qui battait sa mère. Et, il demande ; "d'arrêter, que ça suffit !" Aussi tôt la Sagesse continue et demande ; "ce sont des hommes à punir ?"
Le père répond à nouveau "oui." La Sagesse lui fait voir l'image de lui quand il était enfant et demanda ; "cette enfant aussi ?"
Le père répond ; "ce n'est qu'un enfant."
La Sagesse lui répond ; "pourtant tu as condamné cette enfant. Ton père voilà qui sait. Que faire de ce prédateur de cette fillette ?" (Parlant pour le tueur de sa fille qui lui a enlevé en lui faisant voir l'image de sa fille et du prédateur).
La Sagesse lui dit après ; "cet homme tu l'as condamné ?"
Le père répond ; "je veux qu'il brûle en enfer !"
La Sagesse lui demande ; "et, que fais-tu de son père qu'il lui a tellement tourmenté, qu'il lui a fait un monstre ?"
Le père répond ; "qu'il brûle en enfer aussi !"

La Sagesse lui dit ; "c'est ta seule réponse ? La transmission de la déchirure ne remonte-t-elle pas depuis Adam des premiers des hommes ? Et, que penser de Dieu ? C'est Lui qui est en faute. Il est à l'origine de toute l'histoire. Et, pire encore Il en connaissait le terme."
Le père réplique et lui dit ; "vous voulez que je vous le dise ? Et, bien oui Dieu est responsable !"
La Sagesse alors lui dit ; "s'il est aussi facile de condamner Dieu, tu devras faire un choix entres tes enfants. L'un passera à l'éternité au ciel et l'autre en enfer." (Car, le père a encore 2 autres enfants vivant).
Le père répond ; "je ne peux pas faire ça !"
La Sagesse répond ; "en faire quoi ? Je te demande de faire un choix, comme imaginer ce que Dieu en fait. Alors, pour qui l'enfer ? Voici ta 2e fille, elle te rejette, tu es arrivé à dire qu'elle ne t'aime plus. Ou, alors tu envoies ton fils, il peut être désobéissant, il sort en cachette, il ment sur ce qu'il fait. Tu l'ignorais. Alors, ta 2e fille ou ton fils ? Fait ton choix !"
Le père se lève du trône et dit qu'il ne peut pas faire ça et qu'il demande d'arrêter de jouer. Mais, la Sagesse lui insiste qu'il soit obligé de choisir, qu'il n'a pas le choix.
Le père insiste encore et dit ; "vous n'avez pas le droit, c'est beaucoup trop dur. Je choisi moi ! Sacrifiez-moi à leur place ! Laissez-les, j'irai à leur place en enfer." (Il répéta cela 3 fois avec insistance dans le seul but de sauver ses enfants et se rappel de l'histoire de Jésus qui s'est sacrifié pour le monde).
La Sagesse lui dit ; "tu as que de la sagesse et de l'amour pour tes enfants. Tu es prêt à tout sacrifier pour eux. Tu sais ce que Dieu le Père ressens."
Le père fait un soupire et comprends la parabole. Puis demanda ; "ce que je ne comprends pas, Il aime ma fille et Il laisse des pareilles horreurs atroces. Elle était innocente. La laisser se faire tuer pour me punir ? Se serait injuste. Elle n'a rien mérité cela. Ainsi, que ma femme et mes enfants non plus."
La Sagesse lui demande ; "c'est comme ça que tu perçois ton Dieu ? Je comprends que tu te noies dans cette peine immense. Dieu est tout autre, ce n'était pas l'oeuvre de Dieu. Il souffre de beaucoup de chose qu'Il ne peut empêcher. Ce qui est arrivé à ta fille, n'était l'oeuvre que du mal. Et, nul dans ton monde est à l'abri. C'est donc une promesse de vie sans douleur que tu veux ? Cela n'existe pas. Temps qu'il y ait une seule conscience dans cet univers qui refusera de suivre Dieu, le mal trouvera son chemin."
Le père dit ; "mais, il devrait en avoir une meilleure issu ?"
La Sagesse répond ; "il y en a une, mais pour la trouver il faut avoir de la confiance."
Le père s'assoit par terre avec la Sagesse et dit ; "je ne veux plus être le juge des personnes."
Un peu après, il voit l'image de sa fille défunte jouer dans une prairie au paradis, pour la voir une dernière fois joyeuse et vivante. Il comprend que sa fille va bien et qu'il ne faut plus craindre. Puis, s'en alla et rejoins Jésus qui l'attendait au bord de la plage. Le père veut rejoindre la mère de l'autre côté du lac et s'aperçoit qu'il ne peut pas marcher sur l'eau.
Jésus le voit tout étonné et lui dit ; "tu ne penses pas que ça marcherait mieux si on va ensemble tous les deux ?"
Et, commença ensemble à courir à travers le lac pour rejoindre de l'autre côté.
Le père rejoint la mère et dit ; "Papa, (Dieu le Père) je m'en veux d'être été si dur. Je suis désolé"
La mère répond ; "Aucune importance, cela est du passé. On peut peut-être avancer et laisser cela de côté. Tu comprends maintenant ? Je suis capable de susciter des merveilles à partir des pires tragédies. Cela ne signifie pas que j'orchestre des tragédies."
Le père lui demande ; "après tout ce que j'ai dit sur toi, tu persistes toujours à me sauver ?"
La mère répond ; "c'est ça l'amour."
Durant la soirée pour la fête, c'était qu'il revoit son père qu'il avait condamné de ses violences. En revoyant son père au paradis, il a compris que son père a été sauvé en dépourvu de ce qu'il a fait.

Plus tard il se retrouve dans un autre lieu dans une forêt où il se réveilla et voit Dieu le Père à un homme et non plus une mère. Et l'homme dit ; "c'est un père que tu as besoin pour ce qu'on va faire aujourd'hui." (Car, c'est aujourd'hui qu'il va embaumer sa fille, l'enrouler en suite d'un tissu et préparer à l'enterrement. Afin, qu'il puisse faire son deuil).
Et, un moment donné l'homme Dieu le Père s'assoit au cours du chemin et lui fait comprendre que ce qu'il va faire est le moment le plus difficile. Le père lui demande ; "tu me demande de pardonner à ce type ? Il a tué ma fille ! Je veux qu'il souffre ! Je veux lui faire souffrir autant que j'ai souffert !"
L'homme Dieu le Père lui dit ; "je sais ce que tu veux. Mais, lui aussi est mon fils. Je veux pour lui que la rédemption."
Le père réplique à nouveau ; "il devrait brûler en enfer !"
L'homme Dieu le Père lui réplique ; "te voilà donc, à nouveau dans le rôle de juge. Personne ne s'en sort si facilement comme de rien. Tout acte à des conséquences de souffrances durant la vie. Ce qu'il a fait était horrible, il n'est pas question de chercher des excuses. Je te demande de faire confiance en moi, pour faire le bien. Et, savoir ce qui est mieux. Lui pardonner ne veut pas dire de rentrer en relation avec lui. Il s'agit de simplement de laisser les choses douloureuses s'en aller. La peine que tu ressens est une chose qui te dévore, te prive de toute joie et diminue tes capacités à aimer."
Le père réplique ; "c'est trop dur !"
L'homme Dieu le Père répond ; "ce qui t'empêche d'avancer, c'est que tu ne veux pas lui pardonner."
Aussi tôt le père s'effondre assis parterre et songe...
L'homme Dieu le père lui dit ; "personne ne te demande d'arriver tout seul, je suis là avec toi. Tu n'as qu'à le dire à voix haute << je te pardonne >> et cela il te faudra le dire 1000 fois, avant que tu commences à aller mieux."
Et ainsi, le père se réveilla de son comma et se rend compte qu'il a rencontré Dieu et avait reçu le message. Le père commença à pardonner en le disant de sa propre bouche et le répète ainsi petit à petit.

Voici pour la fin ; une image où on voit les 3 trinités avec le symbole de l'arbre qui a poussé sur le trou grâce aux larmes de chagrin du père, (en revenant à la référence où le Saint Esprit lui parlait des récoltes des larmes) et ont servi à fleurir le jardin...

 Ce texte, cette histoire est pleine de petites paraboles qui pourront vous faire parler ou pas. De pourquoi, on accuse Dieu sans que cela soit sa faute. Ainsi, c'est en pardonnant qu'on comprend mieux. Il faut du temps pour toute chose, sur telle fréquence de la douleur.
Cette histoire me parle personnellement, mais je l'ai ressorti pour toucher toute personne qui souhaite des réponses. La bible les évangiles en donnes beaucoup de réponses. Je vous invite à réfléchir et à vous demander ce qui est à pardonner dans votre chemin.
Que la gloire revienne au Seigneur, car c'est à Lui qui appartient la joie, la sagesse et la puissance de sauver.
Soyez en paix.
Copyright 2024. Optimisé par Patrick
Optimisé par Webnode Cookies
Créez votre site web gratuitement ! Ce site internet a été réalisé avec Webnode. Créez le votre gratuitement aujourd'hui ! Commencer