Manipulation mentale

Article écrit le 27.01.2024.

Manipulation mentale

Quand la manipulation est mélangée de narcissisme, de gaslighting et de dénigrement dans une histoire d'affiliation, au point que l'abuseur reste dans le déni auprès de sa victime et de son propre bébé qui est utilisé à ses fins personnelles.

Mon témoignage en tant que victime date en 2019 et a fini en 2021, une période où ma vulnérabilité envers l'abuseur a marqué pour le restant de mes jours. Aujourd'hui à mon écrit je l'ai déjà pardonné, mais n'en reste tout de même qu'elle n'a jamais demandé pardon. Bien que je lui laisse dans sa conscience je suis libéré de toute haine, laissant dernière moi cette mésaventure que je ne souhaite à personne vivre la même chose. Voici mon histoire... 

Elle s'appelait Joice, elle est brésilienne, mère séparée à cette époque, et avait déjà deux enfants à sa charge. Ma relation était de simple amitié intime au départ, dont c'était de l'intimité sexuel. Je ne la trouvais pas spécialement attirante, mais on avait une complicité et c'était irrégulier. On peut dire par exemple qu'on était un couple illégitime, pour faire court. On se voyait très peu, de manière trois à quatre fois par année. J'étais célibataire et elle aussi, malgré qu'elle fût une femme encore mariée et séparée vivant seule avec ses deux enfants. On avait donc rien à se reprocher, appart que cela n'était pas vraiment étique d'avoir une relation avec une femme toujours mariée, (même séparée elle n'était pas encore tout à fait réglée dans sa vie pour vivre comme une vraie célibataire). Alors, en quelque sorte ce qui va se suivre après est d'une part de ma faute de s'être aventurier avec une femme comme ça, car une femme qui se respect et voulant vivre comme une célibataire devait avant régler sa propre vie avec son ex mari. Mais, puisque ce n'était rien de sérieux dans notre relation, que je n'ai pas prêté intention de son attitude dans lequel je pouvais m'exposer à sa façon d'être de traiter son prochain. De plus, c'était une période où je pensais plutôt qu'à moi-même, et que je voulais simplement assouvir mon manque étant trop longtemps célibataire.
C'est dans cette attitude de soi qui peut amener à des histoires tordues et dangereuses pour notre propre morale, j'étais donc vulnérable à toute manipulation de sa part sur ces conditions bien évidemment. Mais, je ne juge pas de sa vie, je préfère regarder ce que j'étais dans mes responsabilités. Et, je pense que beaucoup d'entre vous qui me lise peut s'identifier à ce même genre d'histoire. Mon histoire relationnelle est donc une sorte de copie coller pour beaucoup de monde, et qui peuvent être une remise en question pour vous même si vous êtes actuellement dans une histoire plus au moins identique.
Car, une femme qui ne respecte pas son propre statut social et en sautant des étapes de sa vie ne pourra pas vous respecter et suivre correctement une déontologie morale envers vous, ainsi vous-même également en étant avec une femme encore mariée, (cela va aussi en sens inverse). Vous pouvez me dire "moi je n'ai aucun problème," je ne pourrais que répondre "en effet c'est possible et c'est votre problème dans tous les cas."

Un soir je reçois un appel de sa part et m'annonce qu'elle est enceinte, peut après deux semaines de notre dernière relation sexuelle. Elle m'a fait comprendre qu'il y a que moi dans sa vie à ce genre de relation, et donc forcément que j'étais le père biologique. Elle m'a fait comprendre d'une manière après ma question "si c'était de moi" que ma question était stupide, qu'elle n'était pas la vierge marie. Aussi tôt je n'ai pas prêté attention aux questionnements d'être sûr, et j'y ai cru en me rabaissant à sa manière de me le confirmer. La manipulation a commencé ici, me menant dans un mental de naïveté et de soumission sur sa manière d'être et de sa manière de me traiter dans ses mots. Elle m'a fait comprendre que c'est une femme sage et que j'étais responsables, dont ce n'était pas volontaire de l'avoir mis enceinte. Pourtant, au plus profond de moi j'étais sûr qu'on s'était protégé et au moment où n'y a pas eu de protection je n'avais pas eu d'éjaculation. Mais, la façon comment elle m'a fait comprendre que j'étais le seul homme qui était passé sur elle sur cette époque, qu'elle m'a fait oublier mes doutes et peu à peu je suis rentré dans une idée que je vais être papa. Cela faisait tout drôle au départ, je me disais moi-même que "ce n'était pas de cette manière que je voulais avoir un enfant." C'est à dire d'engendrer un enfant dans un une relation illégitime, (en dehors d'une vraie relation d'amour) et de plus avec une femme déjà mariée encore. Que cela était inattendue pour moi et incalculable, j'ai pris le devant des responsabilités et je lui ai posé la question si elle voulait vraiment le garder. Car, un enfant c'est beau, mais dans ces conditions où j'avais comme relation n'était pas favorable du tout. Encore une fois ce genre de question elle m'a fait comprendre que c'était interdit de se poser ce genre de question, et qu'elle le gardait par moralité avant tout. Je comprenais assez rapidement de la situation que je n'avais pas mon mot à dire, sa manière d'être a commencé envers moi dans une manipulation écrasante en se prenant supérieur. Je comprenais assez rapidement que je devais suivre tout ce qu'elle voulait et souhaitait, sans pouvoir suggérer quelque chose ou apporter de ce que je voulais aussi. Elle avait entamé une manipulation morale de manière à que je perdais confiance en moi, et qu'elle me faisait comprendre que c'était seule elle la maître de tout décision pour son futur bébé. Au point, que je me sentais déjà exclu, dont généralement c'est à deux qui se décide l'avenir du futur bébé. Je ne dis pas pour savoir si on gardait le bébé, bien entendu c'est la femme qui a le dernier mot sur ces choses, mais par exemple de quoi on décide les choses et de ce qu'on va faire. Tout venait de sa propre décision sur tout ce que je faisais pour la suite, et peu à peu sa manipulation m'a transformé d'un esclave à tout faire pour elle. Quant-à moi le faisais de bons coeur de la servir pour faire les commissions en voitures, l'amener à quelque part en voiture, je pensais surtout à son bien être pour le bébé qui ne se stresse pas dans son ventre. Mais, en faisant ainsi et en étant ainsi envers elle ; elle en a profité de manière astucieuse, et c'est à ce moment que tout a commencé les malheurs de mon propre bien-être. Car, elle n'avait aucun coeur de compassion et de partage à ce moment, elle pensait qu'a elle et son futur bébé.

Quand on subit des différents comportements de manipulation entre narcissisme et de mauvaises fois on devient aveugle pour ne pas en souffrir, on suit au mieux ce que l'abuseur veut pour ne pas faire d'histoire. On croit même que c'est nous même le problème, et qu'on doit changer pour l'autre.

Dans ses faits de continuer à m'induire en erreur pour son profit elle m'a proposé de l'accompagner l'hors de ses séances de radiographie et de ses rendez-vous divers qui ont en général pour toute femme enceinte, telle comme un futur papa responsable. Ne travaillant pas à cette époque je pouvais suivre son désir, et cela me donnait une satisfaction de bien faire les choses. Elle voulait donc me faire participer et me faire croire plus en plus au point d'apprendre déjà à aimer le futur bébé. Cela a fonctionné je tombais dans cette sensation d'être content d'avoir un bébé, tous les soucis qu'elle me faisait subir dans sa manière d'être envers moi je pouvais les mettre de côté pour le bébé. Bien qu'au fond de moi je n'étais pas si bien moralement, car je n'avais aucune écoute et tout ce que je disais j'étais en tort pour elle. A force de croire que tout ce que je disais était des pensées d'erreurs, je perdais encore plus l'estime de soi. Au point que parfois quand j'avais des larmes par ses mots crus elle me traitait de bébé, en me comparant à un enfant qui n'a pas grandi.

Un jour c'était un jour de Noël et je le passais en famille chez mon frère, je lui avais annoncé la nouvelle. Aussi tôt mon frère et son épouse à cette époque m'ont fait comprendre de faire le test de paternité, car c'était dans une relation illégitime. Ils m'ont donné des petits doutes comme les symptômes des douleurs des seins, en général la femme pourrait l'avoir après un mois et non deux semaines après la dernière relation. Car, en effet quand elle m'avait annoncé qu'elle était enceinte c'est qu'elle m'avait dit qu'elle sentait des douleurs aux seins. Je l'avais appris chez mon frère cette information des douleurs, ce qui m'avait mis par la suite un début de doute. 
Quand je suis allé l'accompagner pour sa première échographie, le médecin lui a annoncé la date approximative du développement du bébé. Pour moi c'était clairement deux à trois semaines trop développées par rapport à ma dernière relation, mais puisqu'il compte aussi à la dernière date des règles ; que je me suis dit qu'il y a une marge d'erreur de deux semaines. J'avais quand même un peu de doute, mais je ne pouvais absolument pas être écouté sans heurter le moral de Joice. Alors, je m'étais tût comme j'ai pris cette habitude d'être écrasé perdant tout estime de soi. 
Je me rappel même qu'à ce jour étant tellement mal dans ma peau à cause des manières d'être mal traité et sans aucune compassion d'elle que je pleurais pendant l'échographie, et elle ne s'en excusait pas c'était même impensable pour elle-même. La relation était devenue plus en plus toxique, j'étais pris au piège de devoir faire bien les choses pour que le bébé grandit bien dans son sein. Prise au piège de ses divers manipulation narcissique que je ne voyais pas, car je m'accusais moi-même de tout à force d'être écrasé par ses mots. Je ne vais pas détailler tout de comment elle me parlait, comment elle me disait des choses pour me faire comprendre telle manière. Car, c'est maintenant loin derrière moi et par protection j'ai perdu la mémoire des souvenirs détaillés. Mais, je me rappel très bien comment j'ai souffert. Tout comme à l'image créé par l'IA ci-dessus où vous voyez un homme désespéré, voyant pleins de facettes d'une femme sur un journal parterre, avec un bébé qui crie de colère et d'une image à côté d'une femme qui manipule, (dessiné en manière science-fiction). C'est ce que j'avais dans mon coeur à ces moments, je voyais une mère avec pleins de personnalités différentes, dont un jour elle était comme ça et après une autre. Et, dans tout ça que les parents se déchire c'est au bébé qui en prend un coup, dont on doit par responsabilité de toujours protéger son propre enfant avant tout, en montrant l'exemple de parents qui peuvent s'entendre pour le partage de la garde par exemple. La colère de l'enfant est l'image expressif qui pourrait en être ainsi, si nous voyais à ce moment de cette époque.
Je pouvais voir tout ça, mais je doute fort que Joice la mère ne pouvait comprendre même tout ça. Car, elle n'avait même aucune compassion, mais surtout aucune empathie en ma personne avec aucune émotion dans mes émotions désespérées. Mes appels à l'aide dans mon coeur était rendu invisible, que les gens qui l'entourait et les médecins ne voyaient rien. Elle s'est comportée de manière que tout le problème est chez moi, qu'elle rendait complice les autres à m'ignorer mes alertes. C'est à ce devenir parfois en quelque sorte de croire qu'on devient fou...

Au jour quand je lui ai annoncé que je souhaitais faire un test de paternité pour le bébé, aussi tôt elle a changé de comportement. Elle m'a fait comprendre que cette décision était mal et a commencé à me rejeter, en m'ignorant que je serai le père du bébé. Elle m'a fait comprendre que j'étais puni et s'est mis à m'ignorer, au point que je ne pouvais pas débarquer chez elle pour avoir des nouvelles sans avoir des problèmes d'agression. Je devais me protéger des problèmes qu'elle pouvait me faire, alors je suis resté en retrait me sentant puni de ma décision, sentir le rejet à ce moment était très présent. Elle me posait encore la question si je voulais le bébé ou pas. Comme, si c'était elle la reine à décider et qu'elle avait le pouvoir de me retirer à sa guise de tout contact à la naissance du bébé. 
Au jour de son accouchement elle m'a ignoré de son jour J, elle ne m'avait rien dit. Quand je l'ai appris la date pour moi c'était toujours deux à trois semaines trop vite, par rapport à neuf mois complet. 

Mais, au jour quand j'ai eu le résultat du teste du bébé j'ai appris que je n'étais pas le père biologique. A ce moment tout s'était écroulé sur tant de souffrances, d'espérances pour rien, de croyances pour rien, personne était là pour écouter ma souffrance d'avoir appris à aimer un bébé qui n'était pas le mien. Que j'ai cru à beaucoup et que tout était éteint à la lecture du résultat. Je ne souhaite à personne vivre cette sensation.
Heureusement que ce moment j'avais rencontré une femme qui aujourd'hui est devenu ma femme, ce jour-là elle m'avait conseillé de ne pas porter plainte pour tort moral et laisser ça dans les mains de Dieu.
En effet, j'ai déposé tout ça et j'ai laissé tout derrière moi en apprenant à lui pardonner. 
Aujourd'hui de mon écrit quand j'y pense, si j'avais porté plainte je pense que je serai encore dans un processus de réparation et de combats avec le tribunal. Alors, que ma vie avait aussi tôt vite changé de sujet bien plus important, dans lequel j'ai rencontré ma femme et eu vécu mon mariage. Je n'aurais pas pu me marier avec sérénité si je n'avais rien déposé à Dieu et que j'aurais entamé une procédure longue, je suis guéri mais ne veut pas dire que j'oublierai avec le temps. Au contraire c'est quelque chose qui ne peut jamais s'effacer, avec le temps on apprend à le vivre avec. 
Voici mon témoignage...

Quel était le mobile, son but d'avoir tenté de me faire croire que j'étais le père biologique ?

Pendant les moments de début qu'elle était enceinte elle avait parlé à une personne qu'elle avait des problèmes du permis B, qu'on lui embêtait de renouveler. En effet, elle était en quelque sorte sur ses gardes de ne plus pouvoir être autorisé de renouveler son permis B. Car, certainement avec les règles d'aujourd'hui elle faisait trop d'aide sociale et n'était plus protégé par le regroupement familial étant séparée et sans enfant issu du mariage. Elle voulait que son bébé devienne suisse par affiliation de moi-même et qu'elle reçoit de l'argent, dont elle savait qu'en étant à la AI j'aurais eu une aide pour le bébé. Je pense et cela ne tient qu'à moi de ce mobile, mais c'est aussi parce que beaucoup de brésiliennes ou d'autres nationalités extra européen principalement profitent de tomber enceinte pour rester en Suisse, (comme pour d'autres pays c'est le même cas). 
Je ne vais pas juger ou tomber dans tous les insultes possibles sur ses façons de faire dans sa vie, de la manière comment elle s'est prise pour tenter d'arriver à ses fins en m'ayant utilisé. 


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