On accuse Dieu pour tout.
Article écrit en avril 2022.
On accuse Dieu pour tout.
Après
un drame, un accident ou tout autres qu'on estime une injustice dans
notre vie ; on a tendance à accuser Dieu comme responsable des
massacres et des problèmes injustes qu'on subit.
On dit souvent
la question ; mais, si Dieu est parfait et aime tout être, pourquoi
Il laisserait autant de guerres et d'injustice ? Pourquoi Il n'était
pas là, quand j'avais besoin de lui pour sauver la personne ?
Il y a bien des manières qu'on peut penser de Dieu. Et, à force lui accusant comme responsable ou qui ne fait rien, on a tendance à vouloir lui remplacer.
Laissez-moi raconter une histoire, une histoire qui peut s'identifier à beaucoup de monde qui se poseraient ces questions. C'est une histoire retiré d'un film "le chemin du pardon," que je vous recommande de le voir !
Voici l'histoire :
Le papa qui parle
Dieu le Père qui parle
Le Fils Jésus qui parle
Le Saint Esprit qui parle
Les 3 le Père, le Fils et l'Esprit qui parlent en même temps
La Sagesse qui parle
Y
a un père qui fait du camping au bord d'un lac, avec ses enfants. La
mère était occupée dans un autre endroit, pour son travail. Le père
s'est occupé d'un problème survenu et avait laissé sa fille seule
quelques minutes, où elle était tranquille à jouer et à dessiner
assis au près d'une table.
Quand le père a fini de régler le
problème, il revient vers là où il a laissé sa fille et il ne le
retrouve pas. Il cherche partout et il ne le trouve pas. Il commence
à paniquer et il fait appel à la police.
La police débarque
avec les chiens pour rechercher la fille disparue. Après quelques
heures passées, cela aboutit à un échec et ainsi ils informent au
père "qu'il y a un homme recherché depuis quelques années qui
a déjà volé plusieurs enfants".
Le père panique et voit
de très mauvais oeil de ce qu'il se passe.
Un peu plus tard, la
police après des multiples barrages routier et de recherches dans la
forêt ; ils ont pu enfin retrouver l'homme qui a volé la fille et
la fille morte.
Le père effondré et cette demande ; "pourquoi
cela est arrivé ? Pourquoi moi ? Je n'ai rien fait et ma fille
innocente elle ne méritait pas de mourir ainsi."
Ainsi,
vint la colère et la haine du père contre l'homme qui lui a volé
et tué sa fille. Et, soudainement de sa nature il a commencé à
accuser Dieu, en imaginant dans son coeur que "Dieu est
responsable et qu'Il n'était pas là pour sa fille," pense-t-il.
Il
décide de prendre la voiture et s'enfuir à rouler loin qu'il a
envie, ainsi il ne fait pas attention à la priorité et se fait
ramasser par un camion. Lui et sa voiture face à un gros poids lourd
de plusieurs tonnes et tomba dans le coma.
Pendant son coma,
il rencontre Dieu dans un lieu magnifique et proche de la nature,
telle à l'image que le père de la fille défunte aime vivre ou
souhaite vivre.
Il le rencontre en 3 manières différentes à
l'image de la trinité.
Dieu se présenta devant lui comme une
mère, car ce papa avait besoin d'une écoute d'une mère qu'il
n'avait jamais pu avoir à son enfance.
Dieu le Père se
présente et dit ; je
m'appelle
Anna et je connais votre fille.
Le
père de la fille défunte se pose la question et demande ; tu
es Dieu ?
Dieu
répond ; Je
suis.
Le
père réplique et dit ; vous
êtes celui qui est ?
A
peine la question, que Dieu coupe la parole et répond à nouveau
avec confirmation ; Je
suis celui-là.
Dieu
ne lui donne pas la réponse directe, pour que le père puisse
confirmer de ce qu'il ressent et de ce qu'il voit, (et en même temps Dieu lit dans ses pensées).
Puis, Dieu
présente son Fils bien aimé, (Jésus) qui est une image d'un homme
simple au cheveux court et souriant. Selon comment Dieu connaît le
père, Il lui fait voir d'un Jésus comme un air d'un ami où le père
ressent directement de la confiance. Dieu savait quelle image de Jésus
que le père avait besoin de ressentir une confiance, l'hors de la
présentation. Comme Dieu connaît tout au plus profond de chacun
d'entre nous.
Ainsi, le Saint Esprit en forme d'humaine
asiatique s'approche et se présente d'un prénom qui veut dire
"souffle de vent." Une femme asiatique plus précisément,
où Dieu savait qu'il avait besoin d'une relation aussi avec une
asiatique qu'il n'en voit jamais.
Le père demande ; Qui
est réellement le Dieu ?
Les
3 personnes qui se sont présentées répondent en même temps
; c'est
moi !
Le
père de la fille défunte verse une larme et n'en revient pas de ce
qui lui arrive. Très ému et très triste en même temps. Le Saint
Esprit s'en approche et lui prend une larme avec ses doigts et dit
; "nous
recueillons tout ce qui est précieux, ce n'est pas vrai ? Je recueil
les larmes."
Peu
après, le père s'en alla en demandant qu'il revient dans quelques
minutes et sort de la maison, pour se retrouver seul un moment. Et ce
dit en lui ; "pourquoi
je suis revenu à moi ?"
Car,
il souffrait tellement de la mort de sa fille qu'il ne voulait pas
revivre, il était donc conscient qu'il s'est fait renverser par un
grand camion. Il se rappel de cette histoire qui lui a permis
d'arriver à cet endroit magnifique telle qu'il imagine de vouloir
vivre. Ainsi, s'approche d'un lac avec un paysage époustouflant et
tente le geste de vouloir sauter dans l'eau et vouloir se laisser se
noyer. Aussi peu de temps qu'il tente le geste, le Fils Jésus arrive
à l'instant et lui dit ; "tu
as perdu ça." Il
montre une lettre et lui donna au père.
Le père lit et se
rappel de cette lettre qu'il avait écrit comme suite ; "Dieu
je souhaite te rencontrer et t'inviter dans mon esprit, afin de
recevoir en toi ce que tu peux me donner. Et, répondre à mes
questions..."
Le
père se pose la question et demande à Jésus ; "qu'est-ce
que je fais ici ? Qu'est-ce que je dois faire ?"
Jésus
répond ; "tu
n'es pas sensé de faire quoi que ce soit. Tu es libre de faire ce
que tu veux. Comme aller pêcher, te promener, aider le Saint Esprit
à faire le jardin, aller parler avec Papa, (Dieu le Père) qui en
train de faire à manger à la cuisine, à toi de choisir..."
Il
lui a ainsi élaboré une liste de ce que le père aimait imaginer
faire comme temps d'occupation. Il lui donne ainsi aussi une
assurance de paix par le même temps et lui dit ; "je
serai à l'atelier menuiser, si tu as envies tu peux venir me
voir."
Puis,
Jésus s'en alla tranquillement. Et, le père choisi d'aller vers la
mère qui cuisine, (image de Dieu le Père).
Après être rendu
à la cuisine, la mère lui dit ; "tu
te souviens de ce parfum que ta mère portait ? Tu sais qu'elle
t'aime plus que tu puisses l'imaginer ?"
Le
père réplique à l'instant et demande ; "je
suis mort, c'est ça ?"
Dieu
répond avec un sourire au coin des lèvres ; "tu
te sens mort ?"
Le
père reste pensif et se met à l'idée qu'il sent son corps et qu'il
n'est pas mort. Et demande ; "tu
savais que j'allais venir, non ?"
La
mère répond ; "bien
sûr."
Le
père réplique de la réponse de la mère ; "j'aurai
pu refuser."
La
mère répond après cela, tout en faisant la cuisine ; "je
ne retiens personne prisonnier, tu es libre de partir quand tu
voudras."
Le
père demande avec soupire ; "pourquoi
tu m'as ramené ici ?"
La
mère lui répond ; "parce
que c'est ici que ton coeur a échoué. Je sais qu'il y a un grand
gouffre qui nous sépare et il faut que tu saches que j'ai beaucoup
d'affection pour toi au-delà que tu peux le croire. Je voudrai
soigner cette blessure qui grandit en toi et entres nous. Il n'y a
pas de remède à trouver à ta douleur. Pas de solution miracle
qu'il puisse durer. La vie est un peu de temps et beaucoup
d'amour."
Le
père reste pensif et demande avec un peu de colère en lui ; "tu
es Dieu tout puissant, c'est ça ? Alors, tu sais absolument tout. Tu
peux être partout en même temps. Tu as un pouvoir illimité. Mais,
pourtant tu as laissé mourir ma fille. Quand elle avait besoin de
toi, tu l'as abandonné."
La
mère lui répond ; "je
ne l'ai jamais quitté."
Le
père réplique avec amertume ; "si
tu es vraiment celui qu'on te dicte de ce que tu es, au moment où
j'ai eu besoin de toi, tu étais où ?"
La
mère lui répond avec douceur et lui dit ; "mon
fils, quand ta douleur est tout ce que tu voies c'est aussi moi que
tu as perdu de vue."
Le
père lui demande avec encore de l'amertume en lui ; "arrête
de faire des mystères. Quand ton seul but est de m'aider, alors que
tu n'as pas pu aider elle ?! C'est bien à cause de toi qu'elle est
morte ! A moins que tu puisses changer ça ? Tu ne pourras jamais me
libérer temps que tu ne l'as pas sauvée !"
La
mère répond ; "la
vérité libère tout le monde. Et, la vérité à un nom. Il travaille actuellement dans son atelier, couvert de sciure de bois."
Le
père répond ; "la
vérité ? Je connais cette histoire. Lui aussi tu l'as abandonné !
Apparemment tu as l'habitude d'abandonner tout ce que tu prêtant à
aimer."
La
mère répond ; "je
ne suis pas celui que tu crois de ce que je suis."
Le
père répond ; "Il
le dit lui-même à la croix, mon Dieu mon Dieu pourquoi m'as tu
abandonné ?"
La
mère répond ; "non,
tu as mal compris le mystère."
Et,
la mère lui prend sa main et lui montre sa main et son poignet aussi
ayant la marque des clous de la crucifixion et lui dit ; "ne
crois pas de ce que mon Fils a choisi de faire. Il ne nous a pas coûté
à tous les deux. L'amour laisse toujours des marques. Nous étions
tous les deux. Je ne vous ai pas abandonné toi et ta fille."
Le
père se retire ému des réponses de la mère qui était en larme
sur les réponses qui lui disait. Et, sorti dehors.
La mère,
vint peu après vers le père qui s'est assis devant la maison et où
il regardait un oiseau perché sur une branche. Et, la mère réplique
; "il
est splendide, non ? Créé pour voler. A la différence de toi, que
j'ai créé pour être aimé. Vivre sans amour, c'est comme couper
les ailes d'un oiseau. C'est l'effet de la douleur qu'on a sur nous.
Si on ne la soigne pas, on peut oublier à quoi de ce qu'on a été créé.
Ce n'est pas ce que je veux pour toi. Tu es là dans ce lieu pour
ça, on va t'apprendre à voler."
Peu après avoir dit ces mots, elle lui invita à table et manger
ensemble avec Jésus et le Saint Esprit. Le père se dit et demanda à
table aux trois ; "si
vous êtes bien ce que vous dites, vous devez savoir même avant tout
ce que j'allais dire de ma bouche."
Les
3 répondent en même temps à chacun un bout de phrase ; "oui,
mais nous préférons entendre tout ce que tu as à dire. Comme si
c'était la première fois. Nous souhaitons t'entendre parler de tes
enfants tels que tu les voies."
Un
soupire du père, qui a la peine à comprendre, mais qu'il comprend
en tout cas l'amour de laisser libre choix.
Jésus peu après, à
la fin d'avoir fini de manger proposa au père de l'accompagner à
son atelier.
Le père est d'accord et le suit. Ils sont dehors
et tous deux regardent le ciel. Jésus lui dit, sachant à l'avance
ce qui allait se passer dans le ciel ; "regarde
celui-là."
Et,
le père voit une étoile filante passer à peine deux secondes
devant ses yeux.
Le père se confie à Jésus et lui dit ; "je
sais que vous trois vous êtes étroitement lié, mais je me sens
plus à l'aise quand je suis avec toi".
Jésus
lui répond ; "parce
que c'est le fait que je suis humain."
Le
père réplique ; "mais
parce que tu es Dieu aussi."
Jésus
répond ; "je
suis probablement l'humain qui te permet de t'approcher du Dieu le
Père et le Saint Esprit. Me voir moi, c'est aussi leur voir."
Le
père lui dit d'un ressenti ; "vous
êtes tous les 3 différents. Je n'imaginais pas Dieu le Père
comment Il se présente et encore moins le Saint Esprit.
Jésus
souris et lui dit ; "Elle
(la fille asiatique) est créativité, action, elle est le souffle de
la vie. Elle est mon Esprit. On ne peut vivre dans l'amour qu'au sein
d'une relation. C'est tout ce que nous attendons de toi. Même si tu
ne le voie pas. Tu es au centre de notre amour et de notre but. Toute
la beauté que tu voies autour de toi des paysages n'est pour ainsi
dire rien comparé à ce qu'on voit en toi."
Le
père soupire et regarde le ciel en disant ; "la
dernière fois que j'ai regardé les étoiles comme ça, ma fille
était à côté de moi."
Jésus
lui répond ; "je
sais."
Peu
après, ils rentrèrent à la maison et le père alla dans sa
chambre. Puis, il prit une bible qui retrouva en ouvrant un tiroir.
Il commença à le lire et s'endormit. Il vint à commencer à rêver.
Il rêve qu'il vole au-dessus des montagnes et de forêts de sapins à
perdu de vue. Il entendit une voix soudaine de sa propre fille
appeler "papa !" Et, soudainement il rêve qu'il tombe du
ciel et atterri sur le chemin où le tueur est passé prendre sa
fille. Il voit sa fille crier "papa !" à plusieurs
reprise, transporté sur les épaules du tueur, (qui s'enfuit avec
sa fille).
Puis, aussi tôt il se réveilla avec crainte et
colère dans ces yeux. Il sorti de son lit et sortit de la maison. Il
voit soudainement la mère préparer le petit déjeuner sur la
terrasse.
Elle lui demanda s'il a bien dormi et lui dit ; "tu
sais, les rêves sont importants. Ils peuvent être d'une façon
d'ouvrir une fenêtre. De renouveler l'air frais."
Elle
lui dit cela, car elle sait ce qu'il a rêvé. Et, le père lui
demande ; "est-ce
que tu as quelqu'un que tu n'as pas beaucoup d'affection ?"
La
mère répond ; "non.
Je n'ai pu trouver qui que ce soit. Il faut croire que je suis comme
ça."
Le
père réplique ; "tu
t'en portes donc jamais ?"
La
mère lui répond ; "bien sûr que oui. Comme tous les parents."
Le
père répond ; "c'est
là où y a ta fameuse colère qui se manifeste. Ta fureur. Tout le
monde le sait, tu as ta manière de punir les brebis qui ne rentrent
pas dans les rangs."
La
mère soupire et dit ; "non.
Je n'ai jamais à punir une brebis. Le péché est un châtiment en
soi. Il le fait de lui-même. Même s'il est difficile pour toi de
l'accepte, je suis plutôt au centre de tout ce que tu perçois étant
comme je suis le bazar pour le bien de tous. C'est mon rôle."
Le
père lui répond ; "c'est
dingue que tu me dises ça. Avec toute la souffrance qu'il y a dans
le monde. Quel bonheur peut-il avoir pour voir enlever une petite
fille par une espèce de monstre ! Ce n'est peut-être pas toi qui
provoques ces horreurs. Ce qui est claire, c'est que tu ne les en
empêches pas."
La
mère répond ; "tu
essaie de trouver un sens à l'univers partant d'une image très
incomplète du monde. Tu regardes le monde par le trou de serrure de
ta peine. Y a une faille aveugle dans ta vie. Tu refuses à croire
que je suis la bonté. Erreur, si tu savais ce que je suis et de tout
l'amour que j'ai pour toi. Dans tes moments incertitudes, tu sois en
sûr que j'œuvre que pour ton bien en toute chose. Et, alors tu
aurais confiance en moi."
Le
père réplique avec froideur ; "Confiance
en toi ? Pourquoi j'aurai confiance en toi ?! Ma fille est morte !
Et, rien de ce que tu diras ne justifiera jamais ce qu'elle a pu en
durer !"
Et,
aussi tôt le père donna un coup de poing sur la table d'un
énervement profonde en lui. Puis, s'en alla de la table en lançant
les services de table sur son assiette.
Il partit dans un chemin
dans les bois et cherche le chemin de sortie.
Le Saint Esprit
apparaît et lui demande ; "tu
cherches le chemin du retour ? Si c'est ta voiture que tu recherches,
il est plus haut dans ce chemin là derrière les arbres. Juste une
précision avant partir, on n'est pas là à se justifier quoi que ce soit. On voudrait que tu guérisses, avec notre aide. Mais, avant que
tu t'en aille, j'ai quelque chose à faire dans le jardin. Peut-être
que tu peux m'aider en vue de la fête de demain soir ?"
Le
père curieux et demanda ; "quelle
fête ?"
Le
Saint Esprit présenté en femme asiatique répond ; "si
tu veux le savoir, tu devras rester."
Après cet échange, ils s'en allèrent tous les deux sur un chemin étroit dans la forêt. Et, le père émerveillé de la beauté des
fleurs et du paysage autour de lui d'un immense jardin. C'est un peu
comme un jardin avec des hauteurs de plante et de fleurs plus haut
que lui. Ainsi, elle la femme asiatique lui passe des outils pour
travailler à débroussailler le jardin, afin de faire des
plantations importantes selon elle.
Peu après ils ont fait un
trou. Le père voit une branche de racine à arracher et essaya de
l'arracher. La femme asiatique lui dit ; "attention,
celle-ci peut te tuer."
Le
père demande ; "si
elle est vénéneuse, pourquoi il est là ?" (Pensant
que dans ce lieu magique en présence de Dieu il ne devrait avoir
rien de cela).
La femme asiatique lui demande ; "tu
penses que le poison devrait être banni ?"
Le
père répond ; "Oui." (Avec
un air de logique dans ses pensées).
La femme asiatique lui
répond avec une petite étude ; "cette branche remplie d'épine t'aurait enlevé la vie. Mais combiné de
cette fleure que je tiens dans ma main, elles se changent d'un
antidote incroyable d'anti poison."
Encore,
la femme asiatique réplique à nouveau d'un autre sujet, pendant
qu'ils continuent à travailler dans le jardinage ; "une
question. Quelle confiance estimes-tu ta capacité de discerner le
bien et du mal ?"
Le
père répond ; "un
sentiment d'évidence."
La
femme asiatique demande alors ; "sur
quelle base t'estime ou pas que quelque chose est bon ?"
Le
père répond ; "C'est
bon, si cela peut m'aider. Ou, les proches, des gens que j'aime."
La
femme asiatique demande à nouveau ; "et,
ce qui te fait du mal ?"
Le
père répond tout simplement ce qui lui fait du mal et envers à un
proche.
Alors, la femme asiatique lui demande ; "donc,
c'est toi qui es le juge ?"
Et,
le père répond que ; "oui
il faut croire." (Avec
un air d'envie de changer de sujet, se sentant embarrassé).
La
femme asiatique repense et lui demande ; "tu
n'as jamais fait erreur ? Ou, revu ton opinion avec le temps ?"
Le
père répond avec une pensée ; "oui."
La
femme asiatique lui répond ; "les
hommes comme toi sont légion, chaque personne détermine selon elle
de ce qui est juste ou injuste. Quant à ta conception du bien se
heurte à ton voisin qui fait du mal, cela crée des disputes. De
grands pays se font la guerre. Parce que tous pensent pouvoir prendre
la place de Dieu. Vous n'avez pas été créé pour ça. Etre seul
isolé, la vie devrait être une conversation entre amis et entres
frères." (Elle
le dit avec tant d'espérance pour lui).
Et, ainsi ils finissent
le jardin et le père dit ; "c'est
toujours la pagaille." (D'un air toujours encore perdu).
La femme asiatique lui réplique
; "la
pagaille c'est toi."
Puis,
le père tourna la tête regardant ailleurs et le Saint Esprit
disparaît lui laissant seul dans le jardin.
En voici une image de cet homme, au beau milieu du jardin avec le trou qu'ils ont fait :
Après,
que les paroles dites du Saint Esprit, la femme asiatique, il s'en
alla du jardin, et sorti voir Jésus qui travaillait dans son atelier
de menuiser. Et, Jésus lui aperçoit et lui demande ; "alors...
Tu as décidé de rester ?"
Le
père répond ; "je
réfléchi."
Jésus
lui dit avec un sourire, (en remplaçant le mot femme asiatique au prénom donné d'elle) ; "femme
asiatique peut-être persuasive, ein..."
Le
père réplique ; "je
voudrai être assez malin pour comprendre un seul mot de ce qu'elle
dit."
Jésus
rigole et lui demande ; "si
tu veux marcher un peu, y a quelque chose que je voudrai que tu y
voies de l'autre côté du lac, si tu veux venir avec moi ? Je dois
ranger mon atelier, je te retrouve sur la rive. Si tu veux tu peux
prendre ma barque, y a ma canne à pêche dedans. C'est peut-être
ton jour de chance."
Et,
le père pris la barque seul et rama, sans attendre Jésus. Afin,
d'aller de l'autre côté du lac, comme Jésus lui a préconisé
d'aller voir. Puis aux beaux milieux du lac, il se reposa et pensa à
nouveau profond de lui-même. Il entendit une voix de sa fille à
nouveau, comme dans son rêve quand il a dormi. "Papa !"
Et, cela à plusieurs reprises et ainsi le père cherche partout d'où
cela vient cet appel de sa fille. Soudainement la barque commença
à recevoir des coups, comme s'il y avait un gros poisson qui lui
fonçait dessus. Il se pencha vers l'eau pour aller voir ce que sait,
avec toute une frayeur en lui. Et, il voit soudainement sa fille dans
l'eau toute apeurée. Le père mi sa main dans l'eau pour espérer de
récupérer sa fille qu'il voit en image et ressort sa main remplie de
noirceur qui englobe sa main, comme une mare de pétrole noyé dans
l'eau. Peu à peu cette mare s'agrandit sous sa barque et
soudainement le bateau commença à se briser, faisant des trous. Et,
le bateau prend l'eau. Il panique de peur de couler et ne comprend de
ce qui lui arrive.
Jésus apparaît les pieds sur l'eau et lui
dit ; "pas
de panique ! Je suis là, regarde moi."
Le
père tout paniqué dit ; "mais
qu'est-ce que je t'ai fait ?"
Jésus
répond ; "je
ne suis pour rien."
Le
père lui dit ; "c'est
toi qui me fais traverser."
Jésus
lui dit ; "c'est
en toi que cela arrive. Respire profondément et écoute la leçon de
ma voix. Ne regarde pas vers le bas ! Mais, vers moi !"
Le
père encore paniqué et encore regarde vers le bas, où l'eau passe
par les trous. Et voit des images d'enterrement de sa fille. Et,
Jésus réplique à nouveau ; "ne
pense pas à ta douleur, regarde moi ! Ne pense pas au passé,
regarde moi !"
Le
père commence à lui regarder et commence à se calmer.
Jésus
réplique à nouveau ; "tu
n'as pas à t'inquiéter, regarde moi ! Ais confiance, il ne peut
rien t'arriver. Reste calme, regarde moi ! Respire, je suis là avec
toi."
A
l'instant où le père commençait à prendre confiance, toute la noirceur dans l'eau disparaît et la barque devient intacte, sans
trou. Toute l'apaisement revient. Et, Jésus s'en approcha en
marchant sur l'eau et lui demande de venir avec lui. Le père tout
étonné il n'y croit, qu'il ne pourra pas marcher sur l'eau comme
Jésus. Jésus lui répond qu'Il ne plaisante pas et qu'Il insiste.
Il lui dit ; "tu
peux faire comme moi." (En
lui tenant la main pour l'inviter à sortir de la barque).
Le
père toujours en doute il dit ; "je
vais couler."
Jésus
répond à nouveau ; "non.
Tu te représentes un avenir sans moi. Cet avenir n'existe pas. Je
t'ai promis de ne jamais t'abandonner. Je suis là. Aller, vient avec
moi."
Et,
le père pour finir cède et accorde à Jésus de marcher avec lui
sur l'eau. Le père commença à mettre le premier pied et en suite
le deuxième et avec une peur d'équilibre, de sensation forte et se
sentant aussi bizarre de pouvoir marcher sur l'eau, il s'accroche
alors dans les bras de Jésus à premier temps. Et, Jésus
l'accompagne avec apaisement et assurance des premiers pas sur l'eau
du père.
Pendant leur marche, Jésus lui montre les poissons
sous l'eau. Il lui fait montrer le gros poisson qui passe, parmi
pleins de petits bébés poissons. Et, Jésus dit ; "il
doit faire au moins 60 cm, cela fait des semaines que j'essaie de le
pêcher."
Le
père demande alors avec étonnement ; "pourquoi
alors tu n'essaies pas de lui faire mordre au crochet ?" (Pensant
que Jésus n'a pas besoin d'attendre, qu'Il a le pouvoir de décider
que le poisson soit pris au piège rapidement).
Jésus, rigole
et lui dit ; "Ce
ne serait pas très drôle." (En
lui faisant comprendre qu'il n'y a pas de suspense et aussi imaginer
qu'Il laisse libre choix de toute créature).
Et, tout deux
finissent de traverser à pied le lac, arrivant de l'autre côté comme
prévu.
Le père dit à Jésus ; "tu
sais, tu ne ressembles pas beaucoup à tous ces religieux qui m'ont
enseigné."
Jésus
répond ; "la
religion demande beaucoup de travail. Ce n'est pas ce que je demande,
je veux des amis. Une famille, des choses à partager."
Le
père lui demande alors ; "pourquoi
ne pas suivre les préceptes, comme travailler et être un bon
chrétien ?"
Jésus
lui répond ; "si
tu réfléchis bien, je ne suis pas ce qu'on peut appeler un
chrétien. Pas vrai ?"
Le
père réfléchi et dit ; "non,
tu as raison"
Jésus
lui dit aussi tôt ; "ce
n'est pas ça l'important. Je rêve l'humanité changer en amour de
Papa." (Faisant
référence à Dieu le Père). "Qu'ils
se sentent vraiment aimé enfin."
Le
père réplique ; "je
crois que je n'ai jamais ressenti ça."
Jésus
lui dit avec un sourire ; "tu
veux que je te montre ? Tu n'as qu'à te rechaussé" (Car
le père avait enlevé ses chaussures pour avoir marché sur
l'eau).
Puis, tous deux s'en va dans la forêt. Au bout d'un
moment, Jésus s'arrête et lui dit ; "continue
sur ce sentier et continue de marcher tout droit. Je ne peux pas
venir avec toi. Toi seul tu peux passer sur ce sentier."
Le
père réplique ; "tu
m'as dit que tu ne m'abandonneras pas."
Jésus
répond ; "je
n'ai pas l'intention, ais confiance, n'oublie pas ce qu'on t'a
enseigné. Quand tu reviendras, tu me retrouveras ici."
Le
père de manière inquiet prend la décision de prendre confiance et
marcher sur ce sentier seul. Pendant sa marche il perçoit un mur et
se retrouve dans un cul sac, par expression. Sans pouvoir aller plus
loin. Il prend confiance et se dit de continuer de marcher, se
rappelant ce que Jésus a dit. Et penche son bras devant et traverse
sa main à travers le mur, comme si le mur était une illusion.
Ainsi, il passa de l'autre côté du mur. Tout est sombre et se
demande si y a quelqu'un...
Il continue de marcher et perçoit
une femme assise sur un trône. Et, le père s'en excuse de s'inviter
lui-même. Et, demande ; "vous
êtes ?"
La
femme assise sur le trône lui répond ; "la
Sagesse. Est-ce que tu comprends pourquoi tu es là ?"
Le
père répond négativement, qu'il ne sait pas.
La Sagesse lui
dit ; "ce
sera une journée très importante, il y aura des grandes
conséquences. Tu es là pour ton jugement."
Le
père tout étonné et dit ; "mon
jugement ? On m'a dit que je n'étais pas mort."
La
Sagesse lui répond ; "c'est
vrai. Tu ne crois pas que Dieu est bon ?"
Le
père répond avec questionnement ; "ma
fille est son enfant ? "
La
Sagesse lui répond ; "bien-sûr."
Le
père répond ; "alors
non, je ne crois pas que Dieu est bon avec tous ses enfants." (Ayant
donc du favoritisme).
La Sagesse lui dit ; "si
c'est ce que tu crois, alors vient et assied toi." (Elle
se leva de son trône et lui indiqua de s'asseoir à sa place).
Le
père refuse et lui dit ; "tu
n'as qu'à me juger depuis là-bas." (Depuis
sur le trône).
La Sagesse lui réplique ; "te
juger ? Tu as des aveux à faire ?"
Le
père lui dit alors ; "tu
sais ce que j'ai fait."
Et,
la Sagesse lui répond ; "oui.
Mais, ce n'est pas toi qui es jugé. Aujourd'hui c'est toi le
juge."
Le
père tout surprise et demande ; "quoi ?"
La
Sagesse lui dit ; "pourquoi
tu es surpris ? Tu as passé toute ta vie à juger tout le monde.
Leurs actions, leurs motivations, comme si elles étaient connues. Tu
juges les gens à leur couleur de leur peau. Leur vêtement. Leur
façon de parler. Pour ce qui est de juger, on peut dire que tu es un
expert chevronné. Viens t'asseoir !"
Le
père accepte et s'assoit sur le trône et demanda ; "je
suis sensé de juger qui ?"
La
Sagesse répond ; "tu
as bien quelques jugements à faire à des personnes de ce monde.
Commençons par les égoïstes. Les personnes cupides, celle qui font
du mal aux autres. Les meurtriers, les vendeurs de drogues. Les
terroristes. A condamner ?"
Le
père répond ; "oui."
La
Sagesse continue et demande ; "de
même de ceux des hommes qui battent leur femme ou des pères qui
battent leurs propres enfants pour abréger leurs souffrances ?"
Le
père commença à voir des images de son passé de son propre père
qui battait sa mère. Et, il demande ; "d'arrêter, que ça
suffit !" Aussi tôt la Sagesse continue et demande ; "ce sont des hommes à punir ?"
Le
père répond à nouveau "oui." La Sagesse lui fait voir
l'image de lui quand il était enfant et demanda ; "cette
enfant aussi ?"
Le
père répond ; "ce
n'est qu'un enfant."
La
Sagesse lui répond ; "pourtant
tu as condamné cette enfant. Ton père voilà qui sait. Que faire de
ce prédateur de cette fillette ?" (Parlant
pour le tueur de sa fille qui lui a enlevé en lui faisant voir
l'image de sa fille et du prédateur).
La Sagesse lui dit après
; "cet homme tu l'as condamné ?"
Le
père répond ; "je
veux qu'il brûle en enfer !"
La
Sagesse lui demande ; "et,
que fais-tu de son père qu'il lui a tellement tourmenté, qu'il lui
a fait un monstre ?"
Le
père répond ; "qu'il
brûle en enfer aussi !"
La
Sagesse lui dit ; "c'est
ta seule réponse ? La transmission de la déchirure ne remonte-t-elle pas depuis Adam des premiers des hommes ? Et, que penser de
Dieu ? C'est Lui qui est en faute. Il est à l'origine de toute
l'histoire. Et, pire encore Il en connaissait le terme."
Le
père réplique et lui dit ; "vous
voulez que je vous le dise ? Et, bien oui Dieu est responsable !"
La
Sagesse alors lui dit ; "s'il est aussi facile de condamner Dieu, tu devras faire un choix
entres tes enfants. L'un passera à l'éternité au ciel et l'autre
en enfer." (Car,
le père a encore 2 autres enfants vivant).
Le père répond
; "je
ne peux pas faire ça !"
La
Sagesse répond ; "en
faire quoi ? Je te demande de faire un choix, comme imaginer ce que
Dieu en fait. Alors, pour qui l'enfer ? Voici ta 2e fille, elle te
rejette, tu es arrivé à dire qu'elle ne t'aime plus. Ou, alors tu
envoies ton fils, il peut être désobéissant, il sort en cachette,
il ment sur ce qu'il fait. Tu l'ignorais. Alors, ta 2e fille ou ton
fils ? Fait ton choix !"
Le
père se lève du trône et dit qu'il ne peut pas faire ça et qu'il
demande d'arrêter de jouer. Mais, la Sagesse lui insiste qu'il soit obligé de choisir, qu'il n'a pas le choix.
Le père insiste
encore et dit ; "vous
n'avez pas le droit, c'est beaucoup trop dur. Je choisi moi !
Sacrifiez-moi à leur place ! Laissez-les, j'irai à leur place en
enfer." (Il
répéta cela 3 fois avec insistance dans le seul but de sauver ses
enfants et se rappel de l'histoire de Jésus qui s'est sacrifié pour
le monde).
La Sagesse lui dit ; "tu
as que de la sagesse et de l'amour pour tes enfants. Tu es prêt à
tout sacrifier pour eux. Tu sais ce que Dieu le Père ressens."
Le
père fait un soupire et comprends la parabole. Puis demanda ; "ce
que je ne comprends pas, Il aime ma fille et Il laisse des pareilles horreurs atroces. Elle était innocente. La laisser se faire tuer pour
me punir ? Se serait injuste. Elle n'a rien mérité cela. Ainsi, que
ma femme et mes enfants non plus."
La
Sagesse lui demande ; "c'est
comme ça que tu perçois ton Dieu ? Je comprends que tu te noies
dans cette peine immense. Dieu est tout autre, ce n'était pas
l'oeuvre de Dieu. Il souffre de beaucoup de chose qu'Il ne peut
empêcher. Ce qui est arrivé à ta fille, n'était l'oeuvre que du
mal. Et, nul dans ton monde est à l'abri. C'est donc une promesse
de vie sans douleur que tu veux ? Cela n'existe pas. Temps
qu'il y ait une seule conscience dans cet univers qui refusera de
suivre Dieu, le mal trouvera son chemin."
Le
père dit ; "mais,
il devrait en avoir une meilleure issu ?"
La
Sagesse répond ; "il
y en a une, mais pour la trouver il faut avoir de la confiance."
Le
père s'assoit par terre avec la Sagesse et dit ; "je
ne veux plus être le juge des personnes."
Un
peu après, il voit l'image de sa fille défunte jouer dans une
prairie au paradis, pour la voir une dernière fois joyeuse et
vivante. Il comprend que sa fille va bien et qu'il ne faut plus
craindre. Puis, s'en alla et rejoins Jésus qui l'attendait au bord
de la plage. Le père veut rejoindre la mère de l'autre côté du
lac et s'aperçoit qu'il ne peut pas marcher sur l'eau.
Jésus
le voit tout étonné et lui dit ; "tu
ne penses pas que ça marcherait mieux si on va ensemble tous les
deux ?"
Et,
commença ensemble à courir à travers le lac pour rejoindre de
l'autre côté.
Le père rejoint la mère et dit ; "Papa,
(Dieu le Père) je m'en veux d'être été si dur. Je suis désolé"
La
mère répond ; "Aucune
importance, cela est du passé. On peut peut-être avancer et laisser
cela de côté. Tu comprends maintenant ? Je suis capable de susciter
des merveilles à partir des pires tragédies. Cela ne signifie pas
que j'orchestre des tragédies."
Le
père lui demande ; "après
tout ce que j'ai dit sur toi, tu persistes toujours à me sauver
?"
La
mère répond ; "c'est
ça l'amour."
Durant
la soirée pour la fête, c'était qu'il revoit son père qu'il avait
condamné de ses violences. En revoyant son père au paradis, il a
compris que son père a été sauvé en dépourvu de ce qu'il a fait.
Plus
tard il se retrouve dans un autre lieu dans une forêt où il se réveilla et voit
Dieu le Père à un homme et non plus une mère. Et l'homme dit
; "c'est
un père que tu as besoin pour ce qu'on va faire aujourd'hui." (Car,
c'est aujourd'hui qu'il va embaumer sa fille, l'enrouler en suite d'un tissu et préparer à l'enterrement. Afin, qu'il puisse faire
son deuil).
Et, un moment donné l'homme Dieu le Père s'assoit
au cours du chemin et lui fait comprendre que ce qu'il va faire est
le moment le plus difficile. Le père lui demande ; "tu
me demande de pardonner à ce type ? Il a tué ma fille ! Je veux
qu'il souffre ! Je veux lui faire souffrir autant que j'ai souffert
!"
L'homme
Dieu le Père lui dit ; "je
sais ce que tu veux. Mais, lui aussi est mon fils. Je veux pour lui
que la rédemption."
Le
père réplique à nouveau ; "il
devrait brûler en enfer !"
L'homme
Dieu le Père lui réplique ; "te
voilà donc, à nouveau dans le rôle de juge. Personne ne s'en sort si
facilement comme de rien. Tout acte à des conséquences de
souffrances durant la vie. Ce qu'il a fait était horrible, il n'est
pas question de chercher des excuses. Je te demande de faire
confiance en moi, pour faire le bien. Et, savoir ce qui est mieux.
Lui pardonner ne veut pas dire de rentrer en relation avec lui. Il
s'agit de simplement de laisser les choses douloureuses s'en aller. La
peine que tu ressens est une chose qui te dévore, te prive de toute
joie et diminue tes capacités à aimer."
Le
père réplique ; "c'est
trop dur !"
L'homme
Dieu le Père répond ; "ce
qui t'empêche d'avancer, c'est que tu ne veux pas lui
pardonner."
Aussi
tôt le père s'effondre assis parterre et songe...
L'homme Dieu
le père lui dit ; "personne
ne te demande d'arriver tout seul, je suis là avec toi. Tu n'as qu'à
le dire à voix haute << je te pardonne >> et cela il te
faudra le dire 1000 fois, avant que tu commences à aller mieux."
Et
ainsi, le père se réveilla de son comma et se rend compte qu'il a
rencontré Dieu et avait reçu le message. Le père commença à pardonner en le disant de sa propre bouche et le répète ainsi petit
à petit.
Voici pour la fin ; une image où on voit les 3 trinités avec le symbole de l'arbre qui a poussé sur le trou grâce aux larmes de chagrin du père, (en revenant à la référence où le Saint Esprit lui parlait des récoltes des larmes) et ont servi à fleurir le jardin...
Ce texte, cette histoire est pleine de petites paraboles qui pourront vous faire parler ou pas. De pourquoi, on accuse Dieu sans que cela soit sa faute. Ainsi, c'est en pardonnant qu'on comprend mieux. Il faut du temps pour toute chose, sur telle fréquence de la douleur.
Cette histoire me parle personnellement, mais je l'ai ressorti pour toucher toute personne qui souhaite des réponses. La bible les évangiles en donnes beaucoup de réponses. Je vous invite à réfléchir et à vous demander ce qui est à pardonner dans votre chemin.
Que la gloire revienne au Seigneur, car c'est à Lui qui appartient la joie, la sagesse et la puissance de sauver.
Soyez en paix.